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Le blog philosophique de francois CHARLES

Fascination pour Poutine ? Rappelons nous la fascination pour Hitler...

22 Décembre 2016 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Extrait des rêves européens de Sarko (pour les petits excités de la politique qui se reconnaitront, je n'ai pas écrit que Sarko était faciné par Hitler)

Chapitre 11 - Rencontre avec Hitler

Un peuple, une patrie, un guide ?

 

  • H : Hum… Jemand ?

  • FLS : Ach Ja ! Ich bin da !

  • H : Bon on va continuer en Français

  • FLS : Vous parlez français ? Vous n’êtes venu qu’une seule fois à Paris

  • H : J’ai eu le temps d’apprendre depuis ! Et vous l’allemand ?

  • FLS : J’aimerais bien mais, de toute façon c’est tout ce que je sais dire

  • H : Pas super mit Angela alors, il y a aussi “ich bin ein Berliner” ou “Ich bine mon gazon” …

Eclats de rire

  • FLS : Oh je reconnais les blagues de Kroutchev !

  • H : Ja, en effet, quel pitre !

  • FLS : Alors que puis-je faire pour vous ?

  • H : Je viens vous voir car vous savez en haut, à part les vieux Allemands nostalgiques, on ne me parle pas beaucoup

  • FLS : C’est un peu compréhensible non ?

  • H : Oh vous savez, je n’ai fait qu’une seule erreur…

  • FLS : Ah ?

  • J : Oui, écouter un peu trop mon égo, mes envies de vengeance de la première guerre mondiale et de mes soit-disant conseillers qui me cachaient beaucoup de choses même si cela peut vous paraître étrange.

  • FLS : Je ne juge pas, l’histoire l’a fait pour moi.

  • H : Non, deux erreurs… Si je n’avais pas aussi déclaré la guerre aux Etats-Unis, sans doute ceux-ci se seraient contentés, du moins pour un temps plus long, de faire la guerre dans le Pacifique.

  • FLS : Mais c’était déjà fait avant de la déclarer non ?

  • H : Il faut aussi savoir faire la différence entre mémoire et histoire, comme entre patriotisme (la gauche) et le nationalisme (la droite) ainsi que savoir reconnaître le génie du National socialisme, qui rapproche les deux… un peu comme le Front National en France, désormais premier parti des travailleurs ! Nous n’aurions jamais du perdre la première guerre mondiale, nous avons été torpillés de l’arrière à cause du blocus créé par les Alliés et il fallait mettre un coup de balais dans tout cela, l’Europe en avait aussi besoin.

  • FLS : Si vous le dites. Mais cela fait aussi partie de la guerre.

  • H : De même que la Wehrmacht, surtout la marine, n’était pas la SS idéologique proche des politiques dont je me suis inspiré des Russes, non pas pour la guerre militaire mais psychologique. Pendant la campagne de France, les soldats ne faisaient pas de prisonnier par manque de temps pour atteindre l’objectif. Ils ne les tuaient pas mais leur demandaient de lâcher leur fusil.

  • FLS : Pas vraiment une politique cruelle. Qui s’en souvient ?

  • H : A Part les images, désormais en couleur ! Et je rêve souvent à un libérateur nouveau, un guide, un orateur, un chef …

  • FLS : Ah … I have a dream… Tenez au fait, vous savez que l’Allemagne se demande s’il faut ou non rénover votre tribune à Nuremberg ?

  • H : Oui, oui je hante quelques nuits aussi sur ce thème. Saviez vous que je me destinais à une carrière d’artiste et que j’avais étudié l’architecture des monuments de Paris ?

  • FLS : Pour ensuite la faire sauter ? Vous étiez en effet un réel architecte et c’est vous qui avez remodelé Berlin.

  • H : Oh, vous connaissez ça ? Je ne suis pas resté longtemps à Paris car je ne voulais pas non plus trop copier par répulsion psychologique. Je voulais même l’oublier et faire une rupture. J’ai tout de même remarqué l’Arc du Carroussel, premier monument polychromique de Paris qui reprend l’architecture impériale romaine et aussi le dégagement du centre de Paris, comme on le voit d’une certaine façon à Berlin et à Bucarest d’ailleurs. Je voulais faire à Berlin la plus grande et vaste architecture de l’Europe et pour l'Europe mais les bombes alliées en ont décidé autrement. C’est une des raisons de ma volonté de destruction de Paris. Et savez vous qu’il y a un lien inverse entre les villes et l’Europe ?

  • FLS : Un lien inverse ?

  • H : Ja, les guerres ont interrompu la construction de Paris et de Berlin alors qu'elles ont contribué à la construction de l’Europe. Mais ce n’est pas cela qui va freiner l’Europe car les pays de l’Est ont plus à reprocher aux Russes qu’à l’Allemagne.

  • FLS : Si vous le dites.

  • H : Lisez donc Mein Kampf, heureusement que j’ai été jeté en prison car je n’aurais pas eu le temps de l’écrire.

  • FLS : Comme Soljenicine qui était officier - lui - avant de critiquer Staline et imaginer une Russie libre.

  • H : Ach sacré Sarko… j’avais même un secrétaire. Au fait…y êtes-vous prêt ?

  • FLS : A quoi ? la prison ? A être secrétaire ?? sacré Hitler va …

Le Sarko sourire en coin, un ange passe

  • FLS : Et de là haut, que savez-vous de moi ?

  • H : Oh, que vous avez su faire un rassemblement extra ordinaire à Villepinte…qui a dû être remboursé ensuite et que vous avez comme moi perdu des élections mais qu’il est possible de revenir.

  • FLS : Il faudra un second Sarko-thon alors parce c’est mal barré !

  • H : Mon alibi était le traité de Versailles mais aussi Rethonde, le fameux wagon que j’avais juré de détruire, ce que j'ai fait, un peu comme le serment de Koufra de Leclerc.

  • FLS : Versailles … Mais le sentiment Gaulois aussi, comme vous l’avez dit et qui est inscrit à Compiègne.

  • H : Ach ya, l’ennemi héréditaire.

  • FLS : Oui mais l’Europe est étrange car le Français était – était ? – l’ennemi héréditaire pour l’Allemand alors que, si le Boche était l’ennemi militaire, c’est l’Anglais l’ennemi héréditaire pour le Français. Nous en avons déjà parlé avec Charlemagne.

  • H : Mais l’objectif était l’Europe, l’Europe ! Jusqu’à l’Oural !

  • FLS : Ah ? comme De Gaulle alors ? Mais en passant par Stalingrad !

  • H : Géographiquement c’est clair. Nous n’avions pas besoin de De Gaulle pour le voir.

  • FLS : Il vous a bien aidé tout de même pour les chars !

  • H : Il n’est pas l’inventeur des chars, vous le savez. C’est un conceptuel, lui c’est les chars plus les avions et non plus répartis dans chaque brigade mais autonomes avec effet de masse, comme nous l’avons fait en 18. Déjà en 1870, nous avions fait d’autres choix, ce qui nous a valu un regard attentif des Japonais depuis cette date en délaissant les Français. Les guerres ébranlent les civilisations mais… font avancer la technologie… et la médecine.

  • FLS : Mais une Europe dirigée par qui ?

  • H : Ach… par vous ! Il faut lutter maintenant contre la Chine !

  • FLS : Oh c’est trop d’honneur et contre Poutine ?

  • H : Poutine n’a que le pouvoir des mots et de ses missiles, on le voit bien en Ukraine, un peu plus proche que la Géorgie…L’Europe maintenant est forte mais elle ne le sait pas ! Il n’ira pas plus loin.

  • FLS : Ce n’est pas ce que pensent les Américains.

  • H : Oh c’est pour mieux faire voter des budgets, comme quand les Américains disent que les Russes vont sortir un super avion pour avoir des crédits et que l’éléphant accouche d’une souris.

  • FLS : Et vous savez ce qu’il a derrière la tête ?

  • H : Poutine ne prendra pas l’initiative de l’attaque mais rebondira sur ce qu’il aura jugé être une offense. Ce qu’il a derrière la tête ? C’est simple, il veut le pouvoir et veut ressembler à Napoléon avec ses troupes désormais à Paris mais sans coalition, sauf celle de la grande URSS retrouvée, pense-t-il. Il veut le faire avec l’appui de la Chine qui veut désormais prendre la place du Japon d’avant, qui, de ce fait, réaffirme sa politique de défense avec le blanc-seing des Etats-Unis.

  • FLS : On a l’impression de se retrouver en 1989 pendant les tensions en Allemagne de l’Est.

  • H : Oui, sauf que là, le pouvoir russe est volontaire.

  • FLS : Qui est responsable de la grande psychose russe ?

  • H : Ach, un peu moi tout de même en les attaquant après avoir rompu le pacte irréaliste accepté par les Russes naïfs, enfin plutôt Staline, qui s’en est bien réjoui dans les premiers temps. Ce n’est pas une psychose mais le deuil non fait d’un territoire perdu. l’Angleterre a-t-elle fait le deuil de la guerre de 100 ans ? Elle a été renforcée dans son identité mais boutée hors du continent et est désormais anti-française dans ses provinces profondes.

  • FLS : Mais pas chez ses élites.

  • H : Oui, mais ce ne sont pas seulement elles qui votent comme dans les vieilles monarchies. Et en France vous le savez bien avec le référendum sur l’Europe décidé par le souverain tout de même. Le suffrage universel aurait pu faire tomber les Habsbourg comme la fait la guerre.

  • FLS : Si vous n’aviez pas viré les juifs, vous auriez pu rester plus longtemps.

  • H : Pffff, au début, je voulais les envoyer à Madagascar ou une île de ce genre mais ce ne fut finalement pas possible. Les alliés ont fait semblant de ne connaître les camps qu’en 1945 alors que même le pape avait compris ! Et qui a parqué les Japonais d’origine américaine ? Non, comme je vous l'ai dit, ce qui a été le début de la fin a été de déclarer la guerre aux Etats-Unis le lendemain de Pearl Harbor et d'attaquer leurs convois. Ils se seraient peut-être contentés de faire la guerre dans le Pacifique et pas en Europe car ils ne le souhaitaient pas. Et ce qui me fait bien rire est qu’une fois qu’ils sont venus « tuer du nazi » et que vous autres Français les avez rejeté ensuite à la mer en fermant leurs bases. Mais vous avez eu le courage de le faire, je le reconnais.

  • FLS : Les Français ne sont pas les seuls à fonctionner de cette façon. En logique avec notre volonté « d’indépendance » gauloise. Tiens je viens d’apprendre qu’une nouvelle base étasunienne est installée en Espagne.

  • H : Attention, on va vous accuser d’être pro-Américain alors que vous êtes simplement lucide. Tiens au fait cela vous fait quoi que les chars Leclerc aillent faire enfin joujou en Pologne - votre chère Pologne à vous les Français - dans des manoeuvres « politiques » suite au défilé du 9 mai de Moscou ?

  • FLS : Ah oui le 9 mai de la « vraie cérémonie » de paix, le lendemain du 8 mai. A ne pas confondre avec le 9 mai de Robert Schuman !

  • H : Ah oui c’est vrai ça. Et il parait que certains spécialistes des pays de l’Est s’attendaient à une grande attaque après le 9 mai 2015. La Pologne semble déjà en guerre... et vous y attirer ! Pour revenir au sujet, moi au moins je n’ai pas imposé de bases en France libre, même si ailleurs et notamment à Dijon, nous occupions les terrains d’aviation.

  • FLS : Oui, c’est vrai, ce qui vous a permis de récupérer les avions destinés à la Pologne...

  • H : Et le projet de centre d’entraînement de l’OTAN, ça en est où ?

  • FLS : Ils n’écoutent pas le grand Charles, ça semble être tombé à l’eau, il faudra trouver une autre base.

  • H : Economiquement, j’ai tout de même relevé l’Allemagne de la république de Weimar ! J'ai travaillé sur la “Grande Allemagne” alors que la Bavière voulait à nouveau se séparer, ce fut mon premier discours où j'ai pris conscience de mon pouvoir d'attraction. Je pensais déjà à la “Grande Europe”. J’ai même été élu l’homme de l’année dans le magazine Life en 1936. J’étais une star avant d’envahir la Pologne.

  • FLS : Et vous avez même été adoubé par le Kaizer ! On oublie vite, comme Mirabeau, premier Panthéonisé, et premier dé-Panthéonisé.

  • H : soupir

  • FLS : Les Allemands n’ont pas oublié car, pour le 50ieme anniversaire, ils nous ont assez bassiné avec « plus jamais ça » ! Je veux dire qu’ils ne veulent plus aller payer le pain avec des boîtes ou des brouettes de billets comme avant et que c’est pour cela qu’ils veulent un euro fort comme le Mark.

  • H : Ya, et en plus l’ancienne zone mark est très large, elle va jusqu'à Zagreb !

  • FLS : Bien et que faut-il faire à votre avis ?

  • H : Ach… avoir un vrai leader dans la défense, nationaliste européen !

  • FLS : Tiens au fait c’est vrai ce que l’on raconte, que vous vouliez faire de la Bourgogne un sous-marin allemand considérant qu’elle était rebelle ?

  • H : Plus encore, je voulais reconstituer l’espace bourguignon des Flandres à la Méditerranée et cette fois relié, comme voulaient le faire en partie Philippe le Bon et surtout Charles le Téméraire.

  • FLS : Il est venu me voir aussi.

  • H : Oui…il tourne en rond, il est très remonté suite à la faillite du Bien Public.

  • FLS : Ah bon ? le journal a fait faillite ? Enfin… s’il s’agit bien d’un journal…Mais cela ne m’étonne pas, en plus avec sa nouvelle parution.

  • H : Mais non ! Ach, vous me faites marcher, Louis XI a bien manœuvré pour le mettre en difficulté la seconde fois et oups, envolées ses visées européennes. Vous saviez qu’il voulait rebâtir l’empire de Charlemagne ?

  • FLS : Ah non.

  • H : Ecoutez, seuls Charlemagne, Napoléon et moi avons réussi à unifier l’Europe, le reste c’est de la soupe. Mais vous maintenant vous pouvez la souder, vous devez le faire ! Vous le devez ! Vous entendez ?

  • FLS : Ben, j’vais en parler à Carlita.

  • H : Oui votre nouvelle Frau, Musso m’en a parlé.

  • FLS : Qui ? Guillaume Musso ? il est mort ?

  • H : Mussolini ! Le petit chauve prétentieux qui ne peut même pas faire joujou sans m’appeler à la rescousse…

  • FLS : Il ressemble à Berlusconi, vous ne trouvez pas ?

  • H : Ya, deux hommes de presse en effet.

  • FLS : Et l’Ukraine ?

  • H : Je suis cela avec grand intérêt !

  • FLS : C’est le recommencement de l’histoire ! On retrouve de nombreux faits commis en 38, 39 et 40, sauf que maintenant l’OTAN est là…

  • H : Tout ça c’est une affaire de minorité, comme de mon temps et Vladimir sait bien en jouer …. C’est comme en Syrie, il protège la minorité de Bachar en tirant d’abord sur les opposants pour ensuite s’occuper de Daesh une fois que tout le monde cherche à se parler Tiens au fait …

  • FLS : Oui ?

  • H : Méfiez vous des Tchèques…

  • FLS : Ah ?

  • H : Oui… un peu comme les Autrichiens… ils défendent les PME …

  • FLS : Les PME ?

  • H : Oui les Petits et Moyens Etats comme dirait notre Frau Ambassadeur autrichienne en France et pas les Petites et Moyennes Entreprises ! Enfin, l’Allemagne, mon pays d’adoption est devenue une ou plutôt un PME aussi !

  • FLS : Tout est relatif, vous pensez à l’absence de colonies ?

  • H : Ach so non, à son histoire car si on regarde les cartes, des entités existaient alors que le mot Allemagne n’existait pas. C’est un Etat nation tardif qui a été précédé par plusieurs siècles d’existence avec des appellations un peu bizarres. En 1157 le mot « saint » est rajouté à l’Empire et ce n’est qu’au cours du 15° siècle que l’on parle du mot allemand « germanique » « deutsche nation ». C’est un chapelet d’entités très diverses dirigées par la maison Habsbourg depuis Vienne et un ensemble très disparate en 1648. Même quand Napoléon met un peu d’ordre dedans en créant une confédération germanique en 1808, il existe encore 36 entités. Ce n’est pas le congrès de Vienne en 1815 qui mettra un terme à cela. La question se posait de savoir où s’arrête l’Allemagne, comme on se pose aujourd’hui la question de savoir où s’arrêtent les frontières européennes, avec ou sans les Autrichiens ? Les hongrois ? Les Bosniaques ? Les peuples de l’empire austro-hongrois ? Voire même la Turquie. Finalement, c’est Bismarck qui a choisit la voie de la « petite » Allemagne « klein Deutsche lösung », très mal à l’aise dans ses habits et qui va aller vers l’avant et tomber dans l’abîme.

  • FLS : Mais, pour en revenir aux Tchèques, avec ou sans leur carnets..

  • H : Leur carnet ? Tchèque ach très très drôle.

  • FLS : Ya ! Kartofeln salad ! Schöne petite madmoiselle ! Achtung bicyclette … Bon humm pardon nous avons pourtant aidé à créer la République tchèque en 1918.

  • H : Oui mais ils vous en veulent de ne pas être intervenus ensuite !

  • FLS : Et vous, pourquoi leur en voulez vous ?

  • H : Oh, je ne leur en veux pas, je dis simplement que quand j’étais petit, dans mon école, lors de la guerre entre les Russes et les Japonais, les Tchèques défendaient les Russes !

  • FLS : Peut-être des éléments isolés.

  • H : Ou peut-être pas, l’Europe est ainsi, les racines sont profondes….Même si ce sont des vilains depuis la chute des Tsars où ils ne combattent plus pour la même chose. Ne marginalisez pas trop la Russie, elle saura retrouver des atouts pour retrouver et défendre son Lebensraum, son espace vital. Comme le disait bien Goebbels, la lutte contre le bolchevisme mondial était le but principal de la politique allemande, enfin nazie. Par contre, la lutte pour le territoire et la fierté est le but de la politique de Poutine. L’Europe et le monde vivent de déception. Souvenez-vous de l’épisode de Frédérique III de Trèves en 1473 qui s’est enfuit la veille de signer le couronnement du roi de Bourgogne qui visait surtout à rétablir la paix avec la France et organiser une croisade contre les Turcs.

  • FLS : Les Turcs…

  • H : Votre Union Européenne est une réalisation fantastique qui met un terme à des conflits millénaires mais tout cela reste fragile quand on voit l’Ukraine et avant la Yougoslavie. Qui aurait cru que Sarajevo, ville olympique, où tout le monde vivait en harmonie, deviendrait ce théâtre mortel. Il faut à l'Europe un vrai chef, comme avec Charlemagne, Napoléon, De Gaulle ou Tito en Yougoslavie, pas une marionnette de théâtre ni une midinette comme la jeune Fédérica, comme si vous n’aviez personne à mettre pour ne pas froisser ni les uns ni les autres, sauf peut-être de dire que ce qui arrive à la Russie est de sa faute mais à part ça ? Un vrai chef vous comprenez ?

  • FLS : Un chef ou un dictateur ?

  • H : Voyez ça comme vous voudrez !

  • FLS : La France a toujours été du côté des dictateurs.

  • H : Pardon ? vous confirmez le lapsus de votre discours du Touquet alors ?

  • FLS : Euh pardon, je recommence ! Je voulais dire s’est toujours opposée...mais parfois il faut reconnaître que l'autocratie ou la bienveillance valent mieux que la démocratie.

  • H : Ach la projection de l’homme africain et de la colonisation qui remonte ! L’Allemagne n’avait pas eu de vraie colonies, elle aurait pu dominer toute l’Europe et le pourtour méditerranée comme les Romains et les Turcs. Vous pouvez le faire maintenant sans tirer un coup de canon ! Tiens, un petit conseil... pourquoi ne pas mettre vos “fichés « S » dans des camps ? Vous pourriez aussi en profiter pour y mettre tous ceux du mur des cons. Et rien de tel que l'état d'urgence pour amalgamer les règlements de comptes « politiques » sans vrai jugements. Vous me direz, quand je vois les forces de l'ordre et la justice de votre pays aux ordres de baronnies capables d'effacer des mains courantes et envoyer aussi des opposants politiques en internement en passant outre la loi, c'est pas mal dites donc ! Allez Auf Wiedersehen !

 

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LES REVES EUROPEENS DE SARKO

18 Décembre 2016 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique, #europe

LES REVES EUROPEENS DE SARKO
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