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Le blog philosophique de francois CHARLES

FISCALITE

20 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #mon programme politique

 

Ce sujet divise beaucoup mais les élections sont là pour fixer des caps. Pour autant, je suis contre le matraquage fiscal quand il y a d’autres moyens pour lutter contre les disparités. Si les particuliers, souvent chefs d’entreprises, comme leurs sièges, partent ailleurs en Europe, ils emportent souvent leurs pouvoirs d’achats et leur pouvoir d’entrainement et de créativité. Faut-il mieux taxer le propriétaire de la poule aux œufs d’or ou chaque œuf d’or avec le risque de le voir partir ou de tuer sa poule ? Ou alors faut-il mieux profiter de la vente des œufs pour attirer des acheteurs, investisseurs, développer les transactions et donc de la croissance ? Dans le même ordre d’idées, est-il juste de taxer des personnes possédant une maison quand ils ne peuvent plus subvenir à leurs charges. Certes, ils peuvent toujours vendre leur bien mais risquent ensuite de se trouver à la rue et ne pas pouvoir être hébergées à la retraite. Parfois l’approche globale a certaines limites dans le calcul mais reste opportune dans les réalités.

Deux mesures financières « coupe feu » consisteraient d’une part à instituer une TVA sur les transactions financières, dont nous parlons depuis longtemps pour limiter les spéculations et enfin mise en place fin janvier, avec peut-être une fiscalité différente au sein et à travers l’Union, et d’autre part à accroitre la part ponctionnée sur la TVA, sans forcément instituer une TVA européenne car le budget européen se greffe déjà sur nos produits. La TVA, taxe universelle et proportionnelle, reste un impôt de régulation indolore et équitable dans la mesure où les grosses dépenses génèrent de grosses taxes, avec des taux de 5, 10 et 20% proches des taux européens. Je propose également une réflexion sur une TVA à la carte plus les plus démunis ainsi qu’une TIPP adaptée pour ceux habitant en lointaine campagne. Je ne suis pas favorable à la taxe dit sociale, car pour compenser les couts sociaux du travail, sur les importations sauf si elle est européenne et la commission saura tres bien répartir ensuite à chaque pays. Ce sont surtout les consommateurs nationaux qui font effort et les produits importés sont taxé à notre TVA. CSG et CRDS sont des taxes de surcharge qui devraient peut à peu disparaitre si la dynamique de croissance réapparait plutôt que persister par accoutumance. La CSG est acceptable sur les retraites dont les salaires n’ont pas déjà été taxés. Le crédit Impôt recherche doit être maintenu et accentué pour les PME avec un bonus pour les programmes en coopération internationale. La fiscalité des grandes entreprises doit être revue pour éviter cette disparité inadmissible avec les PME et TPE. Un bonus à analyser pourrait être apporté aux groupes qui aideront le développement du chiffre d’affaires des PME à l’export par un effet de portage ainsi que pour les entreprises qui répartiront mieux leurs bénéfices à leurs salariés.

Profiter du mouvoir d’achat des retraités serait une erreur en espérant qu’ils consomment. Fiscaliser les contrats de retraite et de prévoyance par capitalisation le serait encore plus alors que ce sera une solution pour financer les retraites et la dépendance. Il sera opportun de créer des collèges « séniors » pour accueillir les cotisations et les contrats collectifs qui seront mis en place pour la dynamique POST 50. Je me suis déjà exprimé sur la fiscalisation des heures supplémentaires mais je rajouterai que si l’Etat ne peut toutefois obliger les entreprises existantes à embaucher, ce sont surtout les agences d’intérim qui vont profiter de ces dispositions, tout en faisant baisser le chômage. CQFD ? Je ne suis pas non plus certain qu’il fallait également mettre en place un régime d’auto entrepreneur chargé au premier euro. Les prix des cigarettes ne doivent pas augmenter sauf à désormais les proposer en distributeurs comme en Allemagne mais il faut penser à nos buralistes. Les taxes peuvent par contre augmenter en incitant les fournisseurs de réduire les coûts des produits par la réduction de leurs composants. Que dire donc de l’alcool. Je réclame une TVA réduite sur l'alcool dans les bars et restaurants, garants d'une certaine pédagogie de consommation mais elle doit être relevée dans les grandes surfaces où l’alcool est en vente libre.

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proverbes chinois

19 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #management

Je vous invite à lire ces proverbes chinois en les rattachant à

votre vie professionnelle et personnelle, ou à certains faits de

l’actualité nationale et internationale. (les fabliaux du management)

 

Chacun de ces proverbes développe un enseignement utile

au manager. C’est volontairement que je ne vous en livre pas

les clés. À vous d’en tirer la leçon et de la faire vôtre ! Vous êtes

désormais en mesure d’identifier leur rapport avec les différents

chapitres que vous venez de parcourir.

 

Mieux vaut allumer une seule et minuscule chandelle que de

maudire l’obscurité.

 

La condition d’un excellent cheval qui plie sous son fardeau

ne vaut pas celle d’un moins bon cheval qui marche à son aise.

 

Mille souvenirs ne valent pas une pensée.

Qui plante la vertu ne doit pas oublier de l’arroser souvent.

(Lee Chou-King)

 

Les vérités que l’on aime le moins à entendre sont souvent

celles qu’on a le moins besoin de savoir.

 

Trop grande vitalité qui ne trouve à s’exprimer : l’homme

de bien se fera rebelle et l’homme de peu, brigand (Confucius).

 

Qui a le nez rouge, sera-t-il sobre, passe pour un ivrogne.

 

Le dragon qui s’élève très haut tombera de très haut.

 

Qui aime louer les gens en face aime aussi à les dénigrer par

derrière. (Tchouang-Tseu)

 

Qui médit de moi en secret, me craint ; qui me loue en face,

me méprise.

 

Agneau en peau de tigre craint encore le loup.

 

Les fablaiux du managent•MEPok 10/06/03 17:15 Page 163

 

Les beaux parleurs se font souvent plus d’ennemis que d’amis.

 

Un chien n’est pas un bon chien parce qu’il aboie beaucoup.

 

Les puces des chats n’énervent pas les chiens.

 

Une trompette, serait-elle d’argent, ne l’emporte pas sur dix

cors de chasse.

 

Qui reconnaît son ignorance n’est pas vraiment ignorant,

qui reconnaît son égarement n’est pas vraiment égaré.

 

Connaître autrui n’est que science, se connaître c’est

intelligence. (Lao-Tseu)

 

Il est aisé d’ouvrir une boutique, mais plus difficile de la

tenir ouverte.

 

L’échec est le fondement de la réussite. (Lao-Tseu)

 

L’oeil le plus sûr ne vaut pas une règle.

 

Cent « non » font moins de mal qu’un « oui » jamais tenu.

 

Lorsqu’on prend un gourdin pour appeler un chien, il ne

vient pas.

 

Si une coupe d’eau ne parvient pas à éteindre un incendie, il

ne faut pas en conclure que l’eau est impuissante contre le feu.

 

Un jour en vaut trois pour qui fait chaque chose en son

temps.

 

Le chien au chenil aboie à ses puces, le chien qui chasse ne

les sent pas.

 

Celui qui chasse un cerf ne s’occupe pas des lapins.

 

On peut enlever à un général son armée mais non à un

homme sa volonté.

 

Quand la route est longue on connaît la force du cheval,

quand une affaire est longue, on connaît la volonté d’un

homme.

 

À oeuvres extraordinaires, hommes peu ordinaires.

 

L’homme maître de soi n’aura pas de maître. (Lao Tseu)

 

Pensez trois fois avant d’agir et vous n’aurez aucun repentir.

 

Savoir endurer un moment de colère, c’est épargner un

siècle de regrets.

 

Stratégie vaut toujours mieux que témérité.

 

On gagne toujours à taire ce qu’on est pas obligé de dire.

 

Écoute avec ton esprit plutôt qu’avec tes oreilles.

(Confucius)

 

Ne chassez jamais un chien sans savoir qui est son maître.

 

En toute affaire, reculez d’un pas et vous aurez l’avantage.

 

Une seule parole peut ruiner une affaire.

 

Les tuiles qui garantissent de la pluie ont été faites par beau

temps.

 

Beaucoup de petites défaites peuvent amener une grande

victoire. (Tchouang-Tseu)

 

Les dieux et les fées se trompent aussi.

 

Qui n’est pas heureux dans sa vigne ne cherchera pas à en

vendre les raisins.

 

Il ne faut pas employer ceux qu’on soupçonne ni

soupçonner ceux qu’on emploie.

 

Il est facile de recruter mille soldats mais il est difficile de

trouver le bon général.

 

Quand l’inférieur est à son aise, le supérieur est tranquille.

(Yi King)

 

Si la base est solide, la maison est solide.

 

Il suffit d’un morceau de viande corrompue pour gâter le

bouillon de toute une marmite.

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quelques proverbes inédits

19 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #management

 

issus des fabliaux es management

 

Pour l’ultime mise en bouche, je vous invite recommencer

l’exercice sur ces proverbes inédits.

 

Une question idiote mérite d’être posée au moins une fois et

profite souvent à plus d’un.

 

Celui qui veut récolter à sa façon ne laisse pas à d’autres le

soin de semer son champ.

 

Il faut dix ans pour se faire un nom mais seulement une

heure pour le ternir.

 

Quand une affaire tourne bien, deux personnes sur dix en

parlent, quand elle tourne mal, huit sur dix en parlent.

 

Si on vous avoue que votre travail est formidable, jetez votre

copie et recommencez.

 

Avancer vaut mieux que culpabiliser.

 

Le pouvoir ne fait pas le bonheur mais il y contribue.

 

Dans une peinture à l’huile, la couche que l’on voit n’est pas

forcément la première appliquée.

 

Une bille glissant le long d’une courbe arrivera plus

rapidement qu’une bille glissant sur une ligne droite.

 

Qui sait prendre le temps d’aller chercher les vents porteurs

gagnera peut-être la course.

 

Le parapluie protège des intempéries mais peut également

masquer les rayons de soleil.

 

La pie voleuse est peut-être plus à plaindre que le coucou.

 

Une femme sans maquillage sera certainement désirable

plus longtemps qu’une femme couverte de poudre.

 

Dr Jeckyll était aux uns ce que Mr Hyde était aux autres.

Un même tableau sera regardé différemment si l’on en

connaît le peintre ou pas, comme une oeuvre son auteur

 

Les serviteurs sont souvent mieux récompensés que les

créatifs.

 

Joueurs de go et joueurs d’échecs concourent à un même

but, mais avec des méthodes différentes et complémentaires.

 

Les scribes ont peut-être écrit l’histoire à leur manière.

 

Qui prendra le temps de lire d’abord l’énoncé ou le

formulaire évitera bien souvent d’accomplir un travail

supplémentaire.

 

On apprend mieux à souder quand on s’assoit sur la chaise

que l’on soude.

 

Une pomme pourrie peut contaminer tout un panier, mais

placer des kiwis à côté de bananes peut aider à les faire mûrir.

 

Le loup reste toujours discret en territoire inconnu.

 

Il est parfois judicieux de faire chauffer plusieurs casseroles

et de décider à un certain moment laquelle servira à faire la

cuisine.

 

Quand il est temps d’enlever le récipient, il faut également

veiller à fermer le robinet.

 

Les paroles s’envolent et les écrits restent. Qui écrit ses

pensées s’expose à de multiples risques mais qui pense sans

écrire reste un beau parleur.

 

On sent mieux le parfum des autres que celui que l’on porte.

 

Certaines situations sont vert pastèque : on s’attend à trouver

du vert à l’intérieur et l’on trouve du rouge.

 

C’est souvent l’accident qui réveille le risque mais souvent,

après l’accident, il est trop tard pour y penser.

 

Qui dit qu’il a tout prévu n’a souvent rien prévu.

 

Mieux vaut perdre ses pieds que perdre la vie.

 

L’assurance c’est comme la boîte de petit pois dans le

placard, on sera toujours content de la trouver un jour.

 

Restez clair dans vos pensées avec vos subordonnés, évitez

les référentiels inappropriés qui pourraient être bêtement mis

en pratique.

 

Qui n’a pas été fidèle une fois trahira une seconde fois –

mais à qui la faute ?

 

Se tromper une fois est humain, recommencer la même

erreur est impardonnable.

 

Qui travaille pour un certificat subira à terme un grand vide,

qui cherche à évoluer, s’aidera du certificat.

 

Nombre d’affaires bénéfiques à l’entreprise ont été signées

du fait du dysfonctionnement créé par le barrage habituel de

certains collaborateurs.

 

Savoir motiver une équipe, c’est prouver que l’on peut aller

ensemble dans une même direction avec des objectifs compris

et validés par tous.

 

Si on peut calmer une douleur en agissant sur le symptôme,

cela ne signifie pas que l’on est intervenu sur la cause réelle du

mal… Mais on peut le faire en connaissance de cause.

 

Même en utilisant le système d’information le plus performant,

la saisie d’une donnée erronée faussera l’information.

 

Un roseau seul est fragile, dix roseaux assemblés peuvent

devenir une arme.

 

Entendre n’est pas forcément écouter, regarder n’est pas

forcément comprendre.

 

Lors de la ruée vers l’or, les commerçants ont fait davantage

fortune que les chercheurs eux-mêmes.

 

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EMPLOI et TRAVAIL

19 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #mon programme politique

 

      Emploi & Travail

 

Le mot d’ordre du gouvernement est « l’emploi, l’emploi et encore l’emploi » mais trop le dire peut cacher aussi une forme d’impuissance. Certes donc mais pour faire quoi sauf à créer des services et des produits attendus, s’ils le sont. On ne peut pousser une entreprise à embaucher. Certaines solutions courageuses existent pouvant venir de l’Etat. J’en ai déjà parlé et en reparlerai par la suite. Il ne faut pas priver certaines personnes d’une volonté de travail supplémentaire ni obliger l’employeur à embaucher ceux qui n’ont pas de travail mais il est possible de prendre conscience que certains doivent être plus aidés que d’autres. Je milite pour développer une vraie politique salariale et un partage des profits de façon encadrée et incitative mais n’est-ce pas finalement un travail de management… Les dispositions de temps de travail à 35 h par employeur ou 48 h multi employeurs possibles peuvent être maintenues ou aménagées en augmentant la durée du temps de travail comme nous avions su le faire après guerre. Il serait possible de mettre en place un Pack anticrise avec un trio coach, mentor, spécialiste et conseiller pole emploi au profit du demandeur d’emploi afin d’avoir une démarche encadrée et pilotée. L’approche Pole Emploi mériterait d’être segmentée en classes d’âges et catégories de salariés, pour une meilleure prise en considération de certaines réalités, tout en restant généralistes sur les métiers.  Les liens mis en place avec les collectivités, les Universités et les établissements de formation sont une bonne chose et existent déjà mais pas forcément dans toutes les régions et doivent donc être généralisées

La France a la chance d’avoir un taux de natalité élevé. Une fois à la retraite, nous avons désormais la chance de pouvoir vivre encore longtemps grâce à une meilleure qualité de vie, de nutrition et de soin. Mais cette retraite traditionnelle que nous connaissons est-elle toujours programmable face aux réalités de vie et économique ? Qu’en est-il si l’emploi vient à manquer vers 50 ans ? Sauver le soldat « post 50 » devient une réalité et il convient surtout d’ouvrir les yeux sur la force motrice qu’il peut continuer à apporter. On ne se met pas assez à la portée des jeunes enfants qui voient le monde autrement avec leur petite taille et qui sont plus près des gaz d’échappement. Il en est de même pour les séniors qui aimeraient bien souvent conserver un corps et un esprit agiles. N’ayons pas peur de comparer notre courbe de vie avec celle que nous connaissons pour un produit ou une entreprise. Nous vivons aussi une phase de lancement, de croissance, de maturité puis de déclin. Mais cette courbe peut être relancée en phase de maturité par une différenciation, un nouveau marché, souvent par un simple détail. Les exemples sont permanents. Pourquoi donc ne pas les appliquer à l’emploi ?  Listons certaines réalités : la situation économique est en attente de relance, les plus de 50 ans représentent souvent les gros budgets de l’entreprise avec une productivité souvent réduite, les entreprises utilisent volontiers les propositions de préretraite qui représente un réel cout d’inexploitation, les salariés acceptent peu souvent de réduire leur salaire réel en poste, un chômeur accepte souvent tout emploi potentiel au bout d’un an sauf que son CV est déjà souvent négligé pour une entreprise qui le juge déjà non opérationnel, un sénior se forme souvent moins facilement mais possède une expérience souvent peu valorisée, un sénior au chômage appréhende de prendre un poste qui peut être aléatoire et ne plus toucher d’indemnités, un réapprentissage relationnel est souvent régulièrement nécessaire pour employeur et employé, les séniors peuvent développer un dynamisme et une motivation décuplés pour ne pas perdre leur poste ou en obtenir un, les entreprises embauchent plus facilement avec des aides et incitations sans voir souvent les apports et effets de leviers des compétences, plus de la moitié des personnes nées après 1960 seront centenaires, on vieillit plus et mieux avec des besoins de financement normaux ou élevés pour la retraite en cas de défaillance de santé, on préfère finir sa vie de façon décente si possible chez soi, les couvertures financières régulières sont moins élevées qu’en salaire et tout le monde ne possède pas un patrimoine conséquent, certain retraités sont expulsés des maisons de retraite pour non paiement, le besoin d’argent est limité à partir d’une certaine tranche d’âge sauf à devoir aider les enfants mais qui ensuite sont souvent garants du soutien financier des parents, nous n’avons toujours pas trouvé la solution de financement de la dépendance notamment avec la maladie d’Alzheimer en dehors des contrats privés, plutôt appréciés par les classes moyennes et en ruralité sans fort patrimoine et ne réclamant pas d’assistance, il est plus facile de souscrire des garanties de prévoyance par un contrat collectif à un certain âge où les difficultés de santé apparaissent, nous possédons de nouveaux outils de prévoyance, certains retraités aimeraient travailler de façon bénévole ou pas et employer certains actifs, certaines entreprises lancent de nouvelles activités ou de nouveaux services en regroupant les personnes devenues inactives chez elles, il est souvent possible de créer une activité entre personnes sans activités que d’intégrer une personne à reclasser, les plus âges peuvent aussi s’en sortir en se regroupant entre eux par la création d’associations ou d’entreprises commerciales ou de services, les séniors peuvent  assurer un tutorat des jeunes en entreprises mais aussi enseigner la lecture, certaines matières scolaires ou garder les enfants. Ils peuvent également aider au développement du tourisme. L’entreprise peut cotiser et abonder d’une certaine façon à la prévoyance et à la retraite avec garanties sauvegardées sur toute la durée de vie. Au regard de tous ces constats, il semble opportun de créer une « intelligence post 50 ». Au-delà d’aides, le premier axe de travail sera de valoriser les compétences et apports dès 45 ans quand les séniors sont encore en entreprise ou pour qu’ils la réintègrent par une interdépendance entre ce qu’ils peuvent continuer à apporter à l’entreprise avant de partir et inversement, sans attendre la pré retraite quand il est déjà trop tard ou le coup de théâtre d’une annonce de licenciement. Le second axe sera de sensibiliser les entreprises à embaucher des « post 50 » et les universités à créer des formations pour adultes, ce qui est déjà fait dans certaines régions en liaison avec pole emploi. Le troisième axe sera de créer une dynamique entre post 50, voire 45 avec les aides et dispositions d’Etat existantes mais surtout en mettant en place le « pack anti crise » cité plus avant et en lançant des initiatives de création d’entreprises et de services avec financements liés. Un préalable sera l’acceptation d’une certaine interdépendance qui devra être validée sur le principe de rémunération globale, de la baisse du poids salarial et sans doute la légitimité de trouver une nouvelle répartition de salaire en s’orientant notamment vers les solutions de retraite et les assurances dépendances qui peuvent être une vraie opportunité d’accompagnement par l’entreprise. On ne prend pas suffisamment conscience que, comme je l’ai déjà écrit, cent euros de salaire brut revient à 70 net mais coute 150 à l’entreprise mais que ces cent euros versés en prévoyance ou retraite sont peu chargés fiscalement et socialement. Dans certaines entreprises, ces budgets sont augmentés car ce qu’ils ont fait « à l’intérieur » en approchant l’aspect rémunération en confiance et sur la durée, s’est vu « à l’extérieur ». C’est par exemple en agissant sur le social que parfois les ventes sont reparties dans certaines PME où le décloisonnement est plus aisé à réaliser. Le plus problématique sera doute de créer des collèges ou des contrats de groupes sans discrimination liée à l’âge. Les nouveaux contrats de génération liés justement à l’âge pourront peut être faciliter certaines dispositions. N’oublions pas que l’Europe peut aussi faciliter cette démarche via par exemple le programme Grundtvig d’enseignement d’éducation et de formation tout au long de la vie des adultes pour partager les connaissances et expériences. Les actions de conseil et de pédagogie peuvent aussi être aidées par des cabinets de conseil et cofinancée par le Fonds Social Européen. J’ai récemment décidé d’analyser une démarche d’intervention amont et avant crise pour sensibiliser les entreprises sur la valorisation des séniors toujours en poste  avec prise en compte des acquis et compétences, sensibilisation au risk management, positionnement du sénior dans le processus de vie et de création de valeur de l’entreprise, sensibilisation sur les aspects de rémunération globale avec un nouveau regard sur les contrats collectifs, négociation sur les rémunérations et sur les contrats de retraite et de prévoyance ainsi qu’une démarche d’intervention pour positionner des séniors demandeurs d’emploi ou en phase de sortie demandée ou voulue de leur entreprise. Cette démarche fera l’objet de partenariats avec les acteurs locaux déjà concernés par l’emploi (Pole emploi, maison de l’emploi etc…) ainsi qu’avec les DIRECCTE régionales. Une partie des interventions, à caractère de conseil pour la prise de conscience pourront être cofinancée par le Fonds Social Européen (FSE). Un Club exclusif « POST 50 » sera créé pour valoriser cette tranche d’âge, avec avantages liés. On peut aussi imaginer des campagnes de publicité montrant des gens voulant leur ressembler pour être embauché pour redonner confiance et pour sensibiliser les employeurs. J’aurais pu reprendre le passage consacré à l’intervention de l’Etat et des collectivités abordé dans la partie Economie et Finances. Le secteur associatif doit être valorisé, non pas pour tisser une toile, comme savent le faire certains partis, mais pour créer une force motrice solidaire au-delà des intérêts particuliers.

S’agissant du cout du travail, il faut arrêter de nous comparer à l’Allemagne car cette dernière n’a ni instauré le SMIC ni les cotisations sociales obligatoires qui protègent nos salariés mais accroissent le poids salarial global. Par contre, ce coût est comparable dans nos moyennes et grosses entreprises qui avantagent cette fois volontairement ou accords de branches leurs employés également outre Rhin. Il n’est pas possible de réduire sensiblement ces acquis mais il est par contre possible de « penser le changement plutôt que changer le pansement » et travailler à une pédagogie de rémunération globale, comme abordée plus haut pour une vraie réduction du coût du travail sans mettre de compensations ni de TVA dite sociale. Nous devons veiller à ne pas nous laisser envahir par les Chinois qui s’installent désormais dans le bâtiment et protéger nos entreprises tout en maintenant une concurrence. Nous devons imposer des salaires chargés comme dans le pays émetteur pour contrer toute fausse concurrence.

Les 35h, comme la fiscalisation des heures supplémentaires, ne sont pas des mesures de réduction d’emploi dans tous les secteurs et contraindre un employeur peut aussi lui donner envie d’arreter. Mais la fiscalisation peut être intéressante s’il y a aussi constitution d’un fonds à destination des entreprises répondant à certains critères éthiquement sociaux pour compenser leurs charges et ainsi faire repartir la croissance de façon incitative.  Ce fonds pourrait également aider les entreprises à abonder avec leurs salariés dans des garanties de retraite. Au même titre que les dispositions anciennement prises sur l’innovation technologique, il pourrait aussi être abondé par les particuliers à travers certaines collectes (assurances vie…) avec avantages fiscaux.

Au-delà de l’aménagement du temps de travail, il faut accroitre l’aménagement du poste de travail, prendre des décisions collectives et non unilatérales. Il faut développer les espaces de services dans les entreprises ou interentreprises avec par exemple garde d’enfants (family management) pouvant être notamment assurée par des séniors. Le lien intergénérationnel n’est pas applicable que dans le domaine social. Si le SMIC a remplacé de SMIG, n’oublions pas qu’il peut aussi baisser mais il est possible d’augmenter régulièrement les employés de  façon interdépendante sauf cas exceptionnel et non l’inverse, ainsi que répartir financièrement tout ou partie du résultat dans une conscience collective. L’effet de levier ira de pair.

Je suis favorable à la limitation de la fourchette de rémunération même au dehors des entreprises publiques où l’Etat est majoritaire, ce qui limitera de facto la fiscalisation. La formation permanente et qualifiante doit bien évidement être au cœur de la croissance avec des DIF et CIF augmentés mais il ne faut pas non plus hésiter à accueillir des travailleurs européens pour couvrir, ponctuellement ou dans la durée, certains besoin en attendant de les combler plutôt que voir nos entreprises délocaliser leurs productions, comme dans la filière viande que j’ai appris à connaitre…

 

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IRCE

19 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #europe

 

pour toutes celles et ceux qui recherchent l'IRCE sur ce blog, merci de bv vous orienter sur http://irce.overblog.com  

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Education et enseignement supérieur

18 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #mon programme politique

 

vous trouverez ci après la partie liée à l'éducation de mon programme social, écologique et semi-libéral 

 

Un accompagnement des jeunes enseignants doit être réalisé par ceux de plus de 50 ans « post 50 » ou retraités, notamment sur les savoir-être qui ne sont pas acquis même, voire surtout, après la réforme des UIFM. J’avais proposé un module « mieux enseigner » à l’éducation nationale, qui n’a pas encore statué, et qui peut être divulgué avec bon sens par les plus anciens.

Je porte un intérêt élevé sur la valorisation des petites classes, véritables ciment initial, auxquelles on ne porte pas assez attention sachant que l’avenir de nos enfants se crée dès le plus jeune âge. C’est ignorer que l’éveil est la base de notre vie future. Nous devons lutter contre leur fermeture en ruralité et augmenter les classes doubles car les enfants y profitent généralement de plus d’attention. Comme pour les médecins, le nombre d’enseignants est suffisant mais mal réparti et beaucoup d’entre eux pourraient aller en campagnes. Une veille accrue doit être portée vers les enfants à problèmes ou les élèves précoces au plus tôt avec une proposition d’accompagnement avec soin sans marginalisation. En terme d’orientation, quand on sait aussi que nombre de conseillers d’orientations n’ont jamais travaillé en entreprise au même titre que certains responsables de ressources humaines ne connaissent pas ce que font vraiment les salariés, on peut se demander si les dispositions actuelles sont bien efficaces et s’il ne faudrait pas songer à d’autres dispositifs. Je propose donc une prise de conscience dès le collège par la mise en place d’un trinôme enseignant-collectivité-entreprise. Certes j’ai rencontré récemment deux jeunes filles satisfaites de leur unique stage de 3° et qui comptent poursuivre dans la voie du commerce ou de la garde d’enfants. Mais combien de jeunes n’auront pas eu la possibilité de découvrir d’autres domaines, d’autres organisations, d’autres métiers ? Comme je l’ai suggéré à Luc Chatel, pourquoi ne pas initier une prise de conscience des réalités du monde du travail en entreprises, collectivités, hôpitaux, organismes artistiques etc.… dès la 6e voire même dès le CM2, comme Anne Lauvergeon nous l’expliquait à la Fondation Concorde, pour développer les métiers manuels, le goût pour l’industrie ou toute forme d’autre organisation remplaçant ainsi la simple semaine « découverte ». J’ai été étonné, lorsque je communiquais sur l’euro, de l’attention que m’offraient ces classes de  CM2, encore insouciantes mais à la fois disciplinées, curieuses, sans a priori et ambassadrices. Des conférences sont généralement le fruit d’initiatives personnelles trop peu soutenues. Mais peut-être faudrait-il certainement aussi sensibiliser le corps enseignant. Je sais que certains consultants sont même payés pour réaliser ce travail. Au-delà d’une simple conférence en classe, il s’agirait de réaliser une ou plusieurs visites du site pour progressivement, au fil des classes, atteindre le format de la  semaine de présence que nous connaissons en 3e, puis plusieurs semaines en seconde et terminale en dehors du bac professionnel. L’adolescent bénéficiera ainsi d’expériences multiples pour trouver son chemin. Outre le temps consacré, je connais la réticence et la réalité des entreprises à accueillir des enfants en terme de sécurité et de réglementation du travail avant 16 ans. Mais ils pourraient être accompagnés de parents. Après concertation avec des enseignants, ces visites pourraient être organisées avec un thème de travail sur l’année et un fil rouge comme par exemple la méthode « 5S » utilisée en industrie (où l’on apprend aussi le Japonais…Seiri débarasser ; Seiton ranger ; Seiso nettoyer ; Seiketsu tenir en ordre ; Shitsuke respecter les règles) qui peut être ensuite applicable pour ranger la classe, la maison, sa chambre… Demander si l’on a fait son « 5S » ? est plus ludique et motivant ! Même mes anciens élèves-ingénieurs apprentis le font et en appliquent bien d’autres ! L’apprentissage doit exister de façon permanente entre les écoles et les entreprises afin de créer un lien fort et désormais naturel au-delà d’approches personnelles. La plate forme installée à Cergy Pontoise en est un exemple.

Un autre thème pourrait être la prise de conscience de la tenue, souvent différente en fonction du métier mais toujours adaptée, ou celui de la communication directe ou indirecte par l’affichage des notes de services, des tableaux de bord. L’école serait au service de l’entreprise et de la collectivité et ces dernières seraient au service de la vie courante dès le plus jeune âge pour une véritable osmose réduisant stress et mal-être au travail. Et tout ceci est réaliste et réalisable. Je milite depuis plus de 10 ans, bien avant l’UMP, pour une tenue uniforme à l’école. Je suis ancien élève du privé catholique où je n’en portais pas ; officier en retraite dans l’armement où j’en portais une dans les arsenaux mais pas dans les ministères à Paris après en avoir portée une dans l’armée de terre, et enfin ancien président d’association de parent d’élèves dans le privé, où ma fille en portait une. Mais porter le costume dans les ministères ou dans un cabinet de conseil n’est il pas une tenue uniforme ou je m’y sens bien même pour aller voir les paysans qui veulent que l’on soit à leur portée sans leur ressembler et qui comprennent vite que mon discours fait vite oublier le costume ? Le cadre ne sera-t-il pas souvent en costume ou en tailleur ? L’ouvrier ne sera-t-il pas souvent en combinaison ou en blouse ? La tenue uniforme ne veut pas forcément dire « uniforme » comme au Japon. Il peut s’agir d’une blouse comme en Tunisie ou dans nos petites classes d’autrefois. Ensuite il est essentiel de ne pas parler « d’uniforme » mais de « tenue uniforme » pour éviter tout blocage a priori et pour ouvrir la pensée au-delà de l’aspect rigide, réglementaire et militaire. La devise d’une tenue uniforme pourrait être « nous sommes tous égaux ». Une personne en tenue uniforme ne montre pas de marques, n’impose pas ou ne donne pas envie de se faire racketter pas absence ou masquage de marque. Il apparait comme quelqu’un d’abordable. Il s’agit souvent d’une régulation gagnant-gagnant et d’une « interdépendance » où l’enfant défavorisé reprend confiance et où le nanti doit reprendre garde mais où les deux ont plus de chance de pouvoir communiquer, sauf si bien entendu ils n’ont pas à se côtoyer s’ils sont dans des écoles différentes. Mais le leadership et les sous-groupes existent même dans chacune des castes. D’autres avantages existent : régulation du budget vestimentaire pour les parents qui dépenseront moins, gain de temps le matin où l’élève n’a pas besoin de savoir comment il s’habille, habitude à une tenue soignée. L’enfant fera attention à ses vêtements et ses parents réduiront leur note énergétique de lavage hebdomadaire. Cela régulerait peut-être également le problème du foulard…Ce sera une réelle opportunité pour les familles de se faire financer tout ou partie du vêtement par les collectivités mais sans couper le budget du jour au lendemain. Mais peut-être que les marques d’uniformes ou de blouses pourront également sponsoriser ces tenues comme les équipes de football ou de rugby. Quels pourraient être les inconvénients ? Enfin pouvoir jouer à se salir ou alors ne plus pouvoir en « ramener ». Mais surtout heurter les lobbys des marques qui misent beaucoup sur les enfants et les jeunes. Les adeptes devront faire leur « deuil ». Peut-être qu’une comparaison interviendra entre les établissements ? Une menace serait de ne pas mettre cette tenue en permanence comme ces écoles privées qui se veulent prestigieuses qui ne le sortent que le vendredi pour la sortie des élèves et dont les élèves ne savent pas mettre la cravate. La menace viendra aussi des irréductibles qui se sentiront agressés par le système sans en voir les avantages ou par ceux qui ne se sentiront pas briller et qui verront les « boucs émissaires » relever la tête. Par contre les bons exemples en France ne manquent pas, notamment à travers les Etablissements Publics d’Insertion de la Défense (EPIDE).

Nous devons retrouver une école efficace et performante avec l’analyse des modèles suédois, allemands et même asiatiques filtrés avec nos réalités culturelles. Nous pouvons nous remettre en question et les initiatives d’enseignants doivent être encouragées. Il est tout à fait concevable d’introduire des contrats d’objectifs dans l’éducation avec appréciation des enseignants par les élèves comme lors des formations professionnelles ou en entreprise. La cohérence lycées - collèges doit être optimisée avec les collectivités et il faut maintenir les aides aux collèges et lycées privés. J’aimerais aussi attirer une attention sur la possibilité de veille accrue s’agissant les profils psychologiques de certains enseignants, au contact de nos enfants, qui peuvent nous cacher bien des choses. Ancien élève d’école de commerce puis en université, enseignant dans divers établissements, je sais qu’après le BAC, la prise en charge de certains étudiants dans les facultés reste un sujet préoccupant et il conviendrait de sensibiliser au plus tôt les élèves qu’une sélection existe, différente que dans les écoles d’ingénieurs et de management et qu’elles ne sont pas faite pour attendre que le vent se lève sauf pour certains élèves réellement motivés par leur carrière et leurs études. Les apprentis existent pour les BAC pros mais aussi pour les BTS et les formations d’ingénieur. Les employeurs doivent aussi comprendre qu’une faculté ne forme pas uniquement des généralistes et l’exemple de Dauphine, quasi grande école, devrait être copié en régions. L’expérience Sciences-po est bonne et déroge à la règle des écoles pour privilégiés. J’ai connu des parents qui achetaient des logements à coté du Lycée henri IV, lycée public, pour y mettre leurs enfants. Habitant vers Cergy-Pontoise, je n’imaginais pas que mes enfants soient considérés comme des banlieusards sans pouvoir intégrer de grandes écoles ! Quand on vient d’une région, on voit cela de loin et tout est possible. Avec un même revenu, mieux vaut habiter à Dijon et aller au lycée Carnot qu’à Cergy Pontoise sauf à scolariser ses enfants dans les deux grands lycées privés qui font référence.

S’agissant des vacances, celles d’été, anciennement dédiées à l’agriculture pourraient être réduites à un mois et demi avec un maximum de 10 jours de vacances intermédiaires afin d’éviter les chocs, comme en entreprise où l’on redoute le lundi, on s’acclimate le mardi, on travaille le mercredi quand ce n’est pas le jour des enfants, puis on pense au week-end. J’accompagne aussi certains élèves de lycée en histoire géographie, économie et gestion et je vois les variations. Mais en tant que coach, je leur donne aussi des méthodes de vie pour s’organiser, éviter de consommer trop d’énergie, se ressourcer, être plus attentifs. La généralisation de ces méthodes pourrait replacer bien des semaines de vacances. Je milite pour la journée d’école aménagée avec sport, activités culturelles et connaissances européennes car une bonne tète est une tète bien faite et équilibrée, et  non forcément gavée et fatiguée. Une tablette numérique pour tous fera-t-elle la différence ? Quoi qu’il en soit, les équipements doivent être adaptés surtout sans oublier les campagnes et pourquoi ne pas les mettre en avant.

S’agissant des langues, je ne souhaite pas que la France ressemble à certains Etats des Etats-Unis où certains résidents ne parlent pas anglais mais uniquement espagnol. La langue française a perdu sa force mondiale depuis la première guerre mondiale et nous devons apprendre désormais d’autres langues pour communiquer en interdépendance. Certes, du temps des protectorats et de la colonisation avec certains départements dont l’Algérie, certaines populations ont du apprendre le français. Pour autant, si une personne veut avoir la nationalité française et les droits sociaux, elle doit apprendre la langue française. 

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Economie numérique

18 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

 

ce paragraphe est court mais existant et a toute sa valeur

 

Sans en faire un ministère, il faut faire du numérique un vrai vecteur de développement pour les entreprises.

Ces dernières peuvent influer sur son développement en se répartissant dans les territoires pour leur vitalité. C’est une roue d’amélioration continue. Le numérique influe aussi sur la médecine, et est un vecteur de décloisonnement de l’agriculture dont les exploitations sont devenues de vraies entreprises. Je ne serais pas revenu en Bourgogne si je n’avais pu communiquer professionnellement en utilisant les réseaux depuis notre ancienne ferme.

Le numérique doit être également un vecteur de liens des séniors, pour garder nos habitants, en faire venir d’autres ainsi que pour le tourisme. En 2015, chaque utilisateur devra pouvoir envoyer plus de 2 méga en 2015 et donc des pièces jointes et surtout dans les campagnes, sans attendre l’arrivée d’une industrie ou d’un pôle d’excellence rurale. Certaines dispositions sont déjà prises en la matière.

Il convient également d’installer un plan de sensibilisation et de formation des personnes âgées par les plus jeunes ou par des équipes du conseil général comme en Cote d’Or qui doit cependant développer ses cyber-bases dans toutes les villes importantes (SATI 21) et des ateliers dans chaque canton et notamment à Montbard, seconde sous-préfecture. 

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Culture, arts, patrimoine

17 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #mon programme politique

 

 

La culture est une chance qui doit être ouverte à tous. L’art et la culture sont des vecteurs d’épanouissement, d’intelligence, d’ouverture aux autres, de dialogue et de sérénité. Regardez comme les gens du Nord ou de l’Est sont heureux de voir le Louvre ou Beaubourg venir à leur rencontre en régions. Le tag de l’œuvre majeure du Louvre Lens ne doit pas remettre en cause ces initiatives mais plutôt les favoriser. D’autres musées doivent voir le jour en région.

J’ai appris le piano dès l’âge de 7 ans, j’utilise l’art pour le management afin de faire comprendre les préférences de personnalité entre ceux qui voient les détails ou les images comme par exemple à travers les impressionnistes et les expressionnistes, j’ai fait partie de chorales, j’aime le cinéma pour ses messages (et j’y tournais parfois) mais je suis souvent incapable, comme de nombreuses personnes, de citer tel ou tel auteur. L’important pour moi est d’abord ce qu’il en ressort en terme d’expression et de ressenti et parfois en terme de technicité pour le partage ou l’humanité. Cela ne m’empêche pas de respecter les puristes et les professionnels ni d’avoir une certaine culture et d’apprécier par exemple le vitrail réalisé pour l'abbaye de Cîteaux par Frère Eric de Taizé en 1966. Et je pense que c’est cela aussi qui freine certaines ouvertures d’esprit auprès du grand public. L’art abstrait peut être mieux compris s’il est présenté comme une dérivation de l’art traditionnel. J’ai commencé à aimer Picasso quand j’ai réalisé qu’il avait peint l’arlequin et m’en sert désormais pour le management à travers l’art.

L’art crée aussi la surprise comme celle de découvrir par hasard que l’on détient un tableau de maitre caché dans son grenier et qu’il convient de le protéger de par sa valeur en évitant de vous faire blâmer de l’avoir laissé dans cet état, voire accuser de le détenir ! Les liens avec le patrimoine et musique doivent être accrus. Le projet sur la gastronomie en Bourgogne reprend bien entendu une de nos forces motrices régionales mais il y a bien d’autres thèmes. Il faut ouvrir la culture à la ruralité, aux quartiers les plus pauvres, à tous les niveaux scolaires avec des thèmes variés.

Comme pour la recherche et développement dans le domaine industriel, la France doit rester une nation créatrice et doit se faire reconnaitre par ce talent qui fait notre plus value à travers le monde. Des ateliers de créativité peuvent se développer dans tout le territoire.

Favoriser l’art dans l’entreprise et à l’école doit être un objectif, comme le fait de favoriser la découverte de la musique classique, véritable moule universel. Les musiques du monde doivent aussi éveiller à la considération de l’autre et il convient aussi de vivre avec la culture contemporaine visuelle et musicale et la volonté d’identité des jeunes, du moment où elle est constructive, ouverte et non violente. Les talents doivent être identifiés et guidés au plus tôt. Ils seront ensuite les ambassadeurs de la France et de l’Europe.

Les identités culturelles locales ressortent peu à peu au fur et à mesure que grandit l’identité européenne sans être antinomique. La Turquie n’est pas européenne mais les Turques ont su, en une soirée, il y a quelques années à Paris, nous étonner sur un concert faisant intervenir leurs instruments traditionnels où l’on découvrait les multiples facettes de leur culture. Nous devons intégrer cela et créer des orchestres européens. Lors de la semaine de l’Europe, l’IRCE lancera une série de concert de musique classique pour mieux comprendre l’histoire de la musique européenne et qui étaient les européens Mozart, Schubert, Rossini … et leurs styles de musique. Nous allons également créer un festival européen de musique de film avec plusieurs pays en faisant participer les écoles de musique.

Toujours dans cette dynamique art et management, je suis favorable à une fiscalité réduite sur les œuvres en partenariat avec les entreprises pouvant les exposer, voire les acheter pour notamment aider les créateurs à se faire connaitre.

 

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Affaires étrangères

17 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #mon programme politique

 

 

bonjour , voici le premier chapitre de mon programme politique social, écologique et semi-libéral


L’objectif et la vision à maintenir en permanence doivent être « l’Europe dont la France » et non l’inverse, sous peine de ne pas avancer dans la construction européenne. Cela suppose une vraie écoute vis-à-vis de tous les autres pays. La France peut par contre avoir délégation pour intervenir sur certaines régions clés, comme en lobbying où l’on fait intervenir les personnes les plus opportunes en fonction d’un lien, d’une situation ou d’une position particulière. C’est ce que nous avons vécu pour le Mali avec un soutien pour l’instant matériel de certains pays européens. C’est aussi ce que nous devons faire en Syrie où la France et la langue française sont reconnues depuis tres longtemps. J’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer dans le cadre de l’Institut de Recherche et de Communication sur l’Europe (IRCE) que je préside, sur les solutions à proposer sur ce pays qui fait partie du bassin méditerranéen. Il n’est pas concevable de laisser ce conflit s’endormir mais il est possible de proposer des solutions qui ne sont pas traditionnelles, même si elles ne plaisent pas à tous. Des actions de facilitations seront prochainement menées.

Nous devons fonctionner dans une règle de non intervention individuelle « sauf », comme en matière d’exportation d’armement qui est en France « interdite sauf ». Un modèle fédéral d’Etats-Nations, pour reprendre l’idée de J. Delors, peut exister pour justement ne pas faire perdre notre identité. Par contre, la France peut et doit continuer à entretenir une participation active à la représentation de nos entreprises françaises, voire européennes quand l’Union aura décidé d’adopter une vraie politique forte renforçant le marché intérieur, sans déroger aux règles de l’OMC et permettant aux entreprises de fonctionner mieux entre elles.

Nous devons continuer à valoriser notre langue qui est celle du droit, fine et précise, utilisée maintes fois en cas de recours international, celle de la représentativité du savoir-faire, de l’attitude, de la créativité et de la culture françaises. Il m’est souvent pénible d’entendre que les Français sont les derniers à s’occuper de la francophonie. C’est une réalité, comme celle qui nous lie à nos anciennes colonies de façon différente de celle du Commonwealth et que nous avons du mal à gérer. Il y a souvent ambigüité entre la France et la francophonie comme avec l’assistance que nous devons ou non apporter aux pays de même langue francophone.

Les interventions militaires de la France devraient être désormais déléguées par l’Union en cas de risque de déséquilibre mondial grave. Nous devrions augmenter le nombre de membres au Conseil de sécurité de l’ONU, avec de possibles votes à la majorité qualifiée, afin de ne pas voir certaines situations perdurer dans le monde.

La reconnaissance d’un Etat palestinien doit être maintenue, comme prévue initialement, étant donné que les dirigeants palestiniens sont prêts à l’accepter et donc à admettre aussi la présence de l’Etat d’Israël qu’il convient toutefois de condamner quand il n’est pas dans son droit et qu’il continue la colonisation quand il voit la négociation lui échapper. L’holocauste a endeuillé nombre de personnes mais ne doit pas être un bouclier permanent.

L’affirmation de l’identité française et européenne au sein de l’OTAN doit être maintenue. J’en reparlerai plus longuement dans la partie défense et Europe.

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le retour de Nicolas 1er ?

17 Février 2013 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

L’interview récente d’Alain Juppé, qui avait déjà dit  qu’« il » n’était fait que pour ça et qu’il se représenterait en 2012, ainsi que celle de Brice Hortefeux ce jour ont réveillé ma rédaction politique. « Il » s’agit bien entendu de Nicolas Sarkozy, qui attend sur son ile d’Elbe, pour qui je vois plutôt une destinée de présidence « européenne » et qui, comme je l’ai déjà écrit, attend de sentir que le « peuple de France » veuille son libérateur.

 

A l’heure où l’imperator S. Berlusconi revient en politique, et où le pape démissionne, pourquoi NS ne reviendrait-il pas ? Mais il ne faudra pas ensuite le regretter !

 

Par François CHARLES

Economiste, conseil en stratégie et management, ancien cadre de partis, fondateur de Droite Fédérale

 

http://droitefederal.overblog.com 


Peut-etre s’ennuie-t-il ou n’est-il pas à la hauteur des orateurs internationaux anglo-saxons ou alors n’a-t-il pas envie de voir son programme se réaliser sans lui ? Mais s’il revient, ce sera pour gagner. Il devra se rappeler que si Napoléon a perdu à Waterloo, c’est à la fois à cause de Blucher et du fait qu’il n’avait encore jamais affronté les Anglais de face mais également qu’il faudra déjà avoir gagné la campagne de France à Droite …

Son ancien « collaborateur », vrai homme d’Etat, fait actuellement profil bas, s’efface à Paris, laissera sans doute tomber la présidence de l’UMP pour mieux préparer les primaires de 2017, car il n’est pas automatique de diriger un parti et d’etre élu ensuite à la présidence de la République. JFCopé va de l’avant avec un mea culpa sur la « politique politicienne » mais semble ne pas honorer des engagements avec les sous-groupes de l’UMP, comme par exemple celui de la France Forte, qui aimerait pouvoir fonctionner financièrement et qui réclame son du.

 

Et que penser des quadras ? Il est vrai que je ne vois pas vraiment NKM et B Lemaire représenter les Français pour des raisons différentes. J’ai eu l’occasion de m’entretenir avec les deux. L’une semble beaucoup trop honnete pour réussir et l’autre, certes fin écrivain, laisse entendre une communication un peu trop superficielle. Mais « c’est l’jeu ma pauv lucette ». Dommage que J. Chartier n’ait pas été ministre, il pourrait désormais se lancer et depuis 14 ans que je le suis, je sais que c’est un vrai élu de confiance. N’oublions pas qu’il était aux cotés de F. Fillon lors de son tour de France et que les Français le connaissent désormais. Il pourra prendre la place de son leader s’il ne se présente plus.

La solution d’harmonisation serait peut-etre le retour de NS. Les militants et ses amis le réclament pour faire face à la gauche et pour faire le ménage à droite. Et sans doute meme les électeurs, comme les Français qui avaient vite oublié les dégats de la campagne de Russie. Mais si JF Copé fera, c’est certain, allégeance, une primaire à l’UMP est tout à fait légitime entre NS et FF plus d’autres.

 

Peut-etre NS saura-t-il aussi rallier l’UDI, qui est déjà morte avant d’avoir éxisté, et dont le chef est le seul à vouloir s’opposer vraiment à l’UMP. Mais JLB fera une fois de plus allégeance, comme F Sauvadet le refera aussi. Et tout ceci en attendant que les jeunes pousses comme Ph. Vigier, qui représente le vrai visage du centre droit à la suite d’Hervé Morin, prenne une assurance légitime.

 

Qui d’autre ? Le MODEM immortel sera bien entendu toujours présent avec son chef historique et peut-être renforcé car c’est finalement lui qui gouverne en ce moment. Le FN et Marine Lepen sera plus fort que jamais bien ancré dans les campagnes bleues marines. Quand à Droite Fédérale, qui se propose de faire travailler tout ce beau monde, à commencer au sein de l’UMP, qui sait si elle ne deviendra pas aussi un parti face à la bêtise humaine ?

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