Hotellerie de Nogent lès Montbard
très bientot un article avec le proet complet, sa justification, son avancement et quelques réalités locales et départementales, voire nationales..
Alésia : bientôt un nouvel article...
tout le monde respire pour croire au muséo parc ... mais est-ce un opidum ou le camp romain ?
Les événements d'aujourd'hui mériteront bien un article
mais avant tout je remercie F Fillon d'être venu nous dire quelques mots, bien surveillé par dessus son épaule par F Sauvadet ...
de retour de rencontre avec les habitants, je constate que d'autres personnes que moi n'avaient pas été invitées
mais où donc nous meneront ces luttes de baronnies ? mais peut etre y a t il certaines éléments cachés?
Biographie François CHARLES la conjugaison d’expériences techniques et du vecteur humain
Biographie et positionnement
Même en étant désormais presque « BAC + 40 », je me qualifie volontiers d’autodidacte à cause de mon cursus non rectiligne et car j’ai bénéficié aussi de l’ascenseur social. Bon élève dans les petites classes mais m’ennuyant vite, j’ai quasiment ensuite manqué mes études, que je ne quitte désormais plus depuis que je les ai reprises. Quand je n’apprends pas, j’enseigne et j’écris. J’ai acquis une connaissance et une intelligence des métiers, du vocabulaire et des enjeux des organisations à travers des expériences fonctionnelles et opérationnelles en stratégie, management, maîtrise des risques, coopération et négociation internationale à la Délégation Générale pour l’Armement, dans l’industrie et les services ainsi que comme consultant dans un grand cabinet d’audit puis de façon indépendante au profit des groupes, des PME et des collectivités. De par mes expériences en matière de négociation, de communication, de par mon goût prononcé pour la sociologie, l’histoire, le dialogue et les relations humaines, complétées dans le domaine de la protection financière des particuliers et des entreprises, je me suis constitué une boite « multi-outils ». J’essaie d’entretenir un esprit d’ouverture et d’écoute, un respect de la « rigueur dans le bon sens» dans une approche globale de maîtrise des risques, d’optimisation, de développement durable et d’innovation.
A la fois homme de terrain et de réflexion, divorcé, père de deux enfants, je suis né en Cote d’Or il y a 50 ans, où je passai ma jeunesse et où j’habite à nouveau depuis 2009. Je suis issu d’une famille paysanne détenant une importante exploitation agricole dans la plaine de Saône, dans le village de Les Maillys. A 7 ans, j’avais déjà répertorié les nids de poules dans nos granges afin d’en analyser voire d’en optimiser la production. Interne à St Joseph, à 11 ans je composais des chansons religieuses à St Joseph. A 14, j’avais créé le premier foyer communal dans une de nos maisons. A 18, je quitte mes envies de devenir avocat et commence des études d’ingénieur à l’ESIEA à Paris. A la fin de ma période de prépa, je rentre au ministère de la défense non sans avoir auparavant testé la vente en devenant champion PROMODIP de tètes de gondoles en supermarché et testé le cinéma avec le charme des figurations et des premiers très petits rôles. Après 5 ans de services dans l’Arme Blindée Cavalerie en Allemagne, je deviens officier de carrière après un concours préparé sur le terrain et à nouveau trois ans d’études à l’Ecole Supérieure d’Administration de l’Armement (gestion, administration et finances publique). Je suis remarqué sans doute pour mes idées et ma façon de penser par un conseiller du ministre de la défense et en 1992 suis propulsé directement au poste d’adjoint au chef de bureau des affaires multilatérales internationales au Service Central des Affaires Industrielles de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA) qui fut une vraie école de l’écriture, de l’efficacité, du pouvoir, du système et des cartes de visite ! Il fut aussi une école de vie quand un énarque vous tutoie puis voie vouvoie la réunion d’après… Proche des cabinets ministériels, j’y mène des dossiers de coopération et de rapprochements de grandes entreprises en Europe et en Asie dont je dresse une cartographie industrielle et où je fais de nombreux déplacements. J’apprends le japonais par la même occasion pour mes missions, voire me préparer à y partir. Je suis chargé des sujets industriels OTAN avec une première grande réussite de négociation, du suivi de la recherche ainsi que de la normalisation aéronautique européenne. Je découvre l’Europe et les programmes en coopération. Je suis chargé de la définition de la politique de compensation et de retour industriel et deviens le point focal des affaires de compensation en réussissant à mettre en place une structure inter-secteurs. Pendant le même temps, j’intègre l’enseignement militaire supérieur de l’armement, poursuis un cursus de formation en commerce international et deviens titulaire d’un DESS de défense, géostratégie et dynamiques industrielles de l’université Paris II. En 1994, je prépare l’ENA mais préfère - finalement et réellement - cultiver mon jardin le jour du concours. En 1995, après un Master audit & conseil suivi à l’ESCP Europe, où j’enseigne également, qui m’amène à travailler chez Arthur Andersen où je découvre le monde de l’audit et de la finance, j’intègre la cellule réflexions méthodologique du Service d’Enquêtes de Coûts de l’armement. En 1996, je suis appelé à la Direction des Relations Internationales de la DGA pour assurer le secrétariat du comité export interarmées, mettre en œuvre le plan stratégique d’exportation et créer la cellule de stratégie d’exportation. J’effectue notamment une mission parlementaire pour le compte du Ministère de l'Economie et des Finances en matière d’investissement et de développement économique en Amérique du Sud. De 1997 à 2002, je crée un groupe de conseil et accompagnement en stratégie, management et recrutement au profit des entreprises et des collectivités où j’œuvre notamment pour les partenariats européens ainsi que dans la mise en place de plans de pérennisation pour les PME. J’en profite également pour me former aux aspects de protection financière et sociale avec AXA Conseil. Dans le même temps je deviens président de parents d’élèves dans l’enseignement privé puis l’enseignement public. De retour à la DGA à la fin de mon congé sans solde non sans avoir tenté d’intégrer un poste en cabinet ministériel, je suis nommé au bureau de la stratégie du Service de Maintenance Aéronautique jusqu’en 2005 où je contribue à la redéfinition de l’identité et l’amélioration globale des nouveaux modèles économiques opérationnels nationaux et européens. Soutenu pourtant par une ministre, je ne réussis pas à intégrer une liste pour les élections européennes, où bien avant Bruno Lemaire, j’avais dis que je démissionnerais en cas d’élection. Je participe à une réflexion nationale sur l’industrie aéronautique et suis doctorant en économie à Paris 1 la Sorbonne sur la création d’une identité de maintenance aéronautique européenne. J’occupe ensuite le poste de risk-manager des programmes d’armement terrestres à la DGA où j’anime et facilite les programmes par l’approche humaine et ma connaissance globale de l’environnement industriel et contractuel. Je deviens également animateur éco-conception et mène une grande étude transverse en gestion de configuration. J’amorce mon retour en région en étant quasi nommé responsable du développement industriel en Franche Comté à la DRIRE tout en étant responsable du développement de la LGV auprès du SGAR à la Préfecture de Besançon mais des considérations d’ordre nationales et corporatistes me feront rendre mes bureaux et ma maison !
Formé au métier de coach ainsi qu’à différents outils et méthodes d’approche humaine, je suis depuis 2009 à la tête d’une société où j’assure des missions de conseil, coaching et formation en stratégie et management au profit de structures, de projets innovants, de dirigeants et d’équipes dans l’industrie, les collectivités, l’hôtellerie et le monde agricole dont je me suis à nouveau rapproché. Professeur vacataire depuis 20 ans dans certaines universités, écoles de management et d’ingénieur en politique générale d’entreprise, intelligence économique, lobbying, approche client, communication et management de projets, je suis l’auteur des « fabliaux du management – penser autrement pour agir autrement » (Ed. Chiron 2003), de deux premiers livres politiques sur les années 2011 et 2012 (Ed Dictus Publishing), d’un ouvrage et de nombreux articles sur l’Europe, l’économie, l’intelligence économique, le management et la défense. J’ai enfin créé le concept des livrets mémos en stratégie, psychologie et management. Je fus également partenaire officiel euro de la banque de France.
Ancien membre de MEDEF puis de la CGPME, je suis fondateur de l’Institut de Recherche et de Communication sur l’Europe (IRCE), Association et véritable Think Tank qui contribua au projet de convention européenne et qui rayonne désormais en Bourgogne et Franche-Comté comme à Paris avec des groupes de travail et des événements variés. J’ai également créé l’association humanitaire Alquemia dans le domaine de l’eau, et l’Association de Soutien du Sport Français. Je me suis formé à l’intervention de crise humanitaire internationale avec l’Ordre de Malte (Malteser International).
Politiquement, je me qualifie gaulliste semi-libéral, plutôt orienté vers la création de valeur par l’outil industriel, les grands travaux et le service, mais avec une forte prise en compte de l’effet de levier social, de la notion de partage des succès et des risques, en toute responsabilité pour y parvenir. J’ai adhéré au RPR en 1978 à Dijon comme militant de base puis j’ai été membre du conseil des grandes écoles à Paris. Après une parenthèse pour cause de statut militaire mais avec des expériences riches en matière de politique industrielle, gestion des dossiers, connaissance du système administratif et industriel, j’ai œuvré au sein des clubs idées actions et suis devenu conseillé national pour le Val d’Oise de Démocratie Libérale à sa création sans avoir l’opportunité d’être élu. J’ai participé aux premiers travaux du Chêne en 2005. J’ai toujours affiché ma ligne sociale, libérale et gaulliste mais à droite pour respecter la force motrice de la croissance industrielle et des services mais sans oublier la valeur humaine qui est pour moi un effet de levier que j’utilise pour conseiller les entreprises et les collectivités. Je n’aime pas le terme de conservatisme ou de progressisme attribué respectivement à la droite et à la gauche, placée à droite ou à gauche du roi pour décider de sa mort, car le progrès peut désormais être social et industriel. De même, libéral ne signifie pas forcément laisser aller mais moins d’Etat pour mieux d’Etat dans une logique de responsabilisation, de transparence, de bonification mais aussi de sanctions. Afin de structurer intuition et action, j’utilise les méthodes de stratégie, de marketing, de management et de processus ainsi que l’effet de levier humain pour poser les bonnes questions, voire les bonnes options et progresser vers les bonnes décisions à partir d’objectifs mesurables, réalistes, réalisables et déterminés dans le temps.
Si je réalise mon blason, ma devise personnelle est Force, honneur et passion. Je me vois rayonnant mais à la fois social et solitaire plutôt loyal que fort, très boire trop altruiste pour l’intérêt général, avec de nombreux projets en tête mais réalistes et réalisables. On me voit plutôt UMP mais comme vous le lisez, je suis plus modéré sans toutefois perdre mon pied d’appel à droite. Ce que je déteste le plus est le mensonge, le blâme, le reniement et l’irresponsabilité par manipulation. Je déteste aussi la ségrégation, les œillères, les grand Ayatollahs et le manque d’écoute. C’est d’ailleurs pour cette raison que je n’ai pas intégré une loge Franc Maçonne qui correspondait à mes valeurs sauf pour cet esprit de cloison. Je ne suis pas, comme François Hollande le disait à Dijon, celui qui prend aux autres, mais plutôt un conceptuel, visionnaire, bâtisseur et porteur de sens. Mais comme lui, je ne critique pas systématiquement parce que les autres ont fait ceci ou cela. Comme JF Copé, j’allie un peu l’homme de cœur et l’homme d’idées. Je m’offusque que certaines personnes tierces se permettent de colporter des informations fausses sur d’autres pour blesser ou tuer.
Au lendemain de l’élection de F Hollande et de la gauche à la Présidence de la République, je m’interroge comme en juin 40, sur la position à prendre entre, d’une part l’armistice dans une logique de reconstruction au risque de devoir finalement tout accepter, d’autre part de « continuer le combat » de l’extérieur ou enfin d’assurer une résistance pour mieux préparer le jour J. Je relis le testament de Pierre le Grand, Weygand, De Gaulle, Sun Tsu, Clausewitz…
J’ai créé Droite Fédérale juste avant celle de l’UMP pour animer les réflexions à droite et j’ai créé l’approche marketing politique SPM (…) pour tenter d’expliquer la politique autrement au-delà des luttes de personnes.
Une chose est certaine : autant je n’aime pas être embauché pour mon carnet d’adresses pourtant bien réel et valorisable, plutôt que pour mes compétences, autant je ne veux pas être celui qui divise ou affaiblis certains leaders par opportunisme ou par jeu stratégique.
Je suis revenu en Cote d’Or juste au moment des régionales où je n’ai pas voulu faire ma lettre de candidature mais où j’ai participé à la majorité des meetings me donnant l’occasion de connaitre certains élus. Mon but était d’être actif pour partager mes idées et mes compétences ainsi que faire remonter les besoins et idées de la population dans une dynamique territoriale, nationale et européenne. Je suis allé sonner à la porte des parlementaires pour analyser les places à prendre ou apporter simplement mon soutien. J’avais déjà émis ce souhait à l’UMP en 2005. J’ai été actif lors des campagnes régionales bourguignonnes et conseil actif lors des cantonales en Cote-d’Or. Je n’ai encore jamais eu l’occasion de trouver « un vide » afin de pouvoir me présenter à une élection mais on m’y pousse régulièrement. J’ai eu a possibilité de me présenter aux législatives en 2012 mais dans une situation très conflictuelle. Cette expérience m’a montré que mes idées et mes compétences étaient efficaces et attendues, que mon attitude d’ouverture était appréciée et m’a permis de me redonner goût et parfois dégout à une certaine forme de combat politique que je n’imaginais pas reprendre.
Après avoir intégré puis quitté l’UMP avec fracas, lancé mon appel aux Cote-d’Oriens et avoir été délégué CNIP de Cote d’or dans le but de créer la fédération, j’ai choisi de me retirer au moment où l’UDI est née en Cote d’Or, d’une part car je ne me retrouvais pas forcément dans cette identité et d’autre part car j’étais en désaccord avec la façon dont cela a été réalisé. Je préfère ne pas en rajouter. Mon premier livre en fait suffisamment état.
Sur Dijon, je continue les rdvz de marketing politique mais dans le cadre de Droite Fédérale, Think Tank et non encore parti rassemblant à partir du milieu du centre en évitant les vrais extrêmes pour toutes celles et ceux qui voudront bien poser leurs armes et construire avec leurs différences et leurs complémentarité dans l’intérêt général mais sans forcément perdre leur pied d’appel ni leurs préférences. Dijon est pour moi mon « serment de Koufra ». En 1941, Leclerc délogea les Italiens de l’aérodrome stratégique de Koufra en Lybie et fit le serment de libérer Strasbourg, ce qu’il réalisa. En 2002, alors encore dans le Val d’Oise, j’ai entendu que la droite avait perdu la ville de Dijon, où j’avais fait ma scolarité et où j’avais milité et collé des affiches dès l’âge de 16 ans. Venant pourtant de quitter la politique locale, je me suis juré de l’aider à la faire reprendre, voire de la reprendre. Dans stratégie, il y a « quand » et 2014 est pour moi consacrée à une autre élection parlementaire, à moins que je ne me consacre à une autre ville du nord de la Cote d’Or ...
Ayant quitté l’UMP bien qu’étant toujours en relation avec ses membres, je resterai indépendant sine die, ou serai sans doute a mené à rejoindre un parti pour le redynamiser mais en cohérence avec une démarche de raisonnement claire. Je resterai de toute façon actif directement ou indirectement comme générateur d’idées, conseil et animateur. En dehors de tout mandat potentiel, je me qualifie volontiers d’animateur politique et territorial car la politique se vit et se mène tous les jours et pas seulement pendant les échéances électorales.
Aujourd’hui je considère qu’une seule formation politique de droite ne peut être seule représentative des suffrages au risque de voir partir de nombreux votes. Un parti peut-être leader mais si et seulement s’il sait travailler avec les autres composantes de sa famille. Une vraie politique de coopération implique sans doute et de façon optimale un candidat et un suppléant de formations différentes afin de défendre une complémentarité de valeurs sauf si bien entendu une même et unique personne se revendique de tout …
POUR UNE SENSIBILISATION AU MONDE DU TRAVAIL DES LE CM2
Aujourd’hui les jeunes font une semaine « découverte » en 3e pour connaître le monde du travail voire choisir leur voie pour l’entrée au lycée. Quand on sait aussi que nombre de conseillers d’orientations n’ont jamais travaillé en entreprise au même titre que certains responsables RH ne connaissent pas ce que font vraiment les salariés, on peut se demander si tout cela est bien efficace et s’il ne faudrait pas songer à d’autres dispositifs plus amont même s’ils ne procurent pas d’effets immédiats pour la réduction du chômage.
Certes j’ai rencontré récemment deux jeunes filles satisfaites de leurs stages et qui comptent poursuivre dans la voie du commerce ou de la garde d’enfants. Mais combien de jeunes n’auront pas eu la possibilité de découvrir d’autres domaines, d’autres organisations, d’autres métiers ?
Comme je l’ai suggéré à Luc Chatel, pourquoi ne pas initier une prise de conscience des réalités du monde du travail en entreprises, collectivités, hôpitaux, organismes artistiques etc… dès la 6e voire même dès le CM2, comme Anne Lauvergeon nous l’expliquait à la Fondation Concorde.
Par François CHARLES
économiste, sociologue, conseil en stratégie et management, ancien président de parents d’élèves
J’ai été étonné, lorsque je communiquais sur l’euro, de l’attention que m’offraient ces classes de CM2, encore insouciantes mais à la fois disciplinées, curieuses et ambassadrices pour leurs parents. Des conférences sont généralement le fruit d’initiatives personnelles non soutenues. C’est ignorer qu’il est important d’éveiller également dans ce domaine dès les petites classes qui sont généralement la base de notre vie future. Mais peut-être faudrait-il certainement aussi sensibiliser le corps enseignant.
Au-delà d’une simple conférence en classe, il s’agirait de réaliser une ou plusieurs visites du site pour progressivement, au fil des classes, atteindre le format de la semaine de présence que nous connaissons en 3e, puis plusieurs semaines en seconde et terminale en dehors de bac pro. L’adolescent bénéficiera ainsi d’expériences multiples pour trouver son chemin.
Outre le temps consacré, je connais la réticence et la réalité des entreprises à accueillir des enfants en terme de sécurité et de réglementation du travail avant 16 ans. Mais ils ne travailleraient pas et seraient accompagnés de parents jusqu’en classe de 4e. Si un des objectifs est aussi de créer un lien permanent avec les entreprises, collectivités et établissements publics, comme nous l’avions initié par la plate forme lycées entreprises en Val d’Oise, un autre est ausside développer une connaissance du patrimoine local.
Après concertation avec des enseignants, ces visites pourraient être organisées avec un thème de travail sur l’année et un fil rouge comme par exemple la méthode « 5S » utilisée en industrie (où l’on apprend aussi le Japonais…Seiri débarasser ; Seiton ranger ; Seiso nettoyer ; Seiketsu tenir en ordre ; Shitsuke respecter les règles) qui peut être ensuite applicable pour ranger la classe, la maison, sa chambre… Demander si l’on a fait son « 5S » ? est plus ludique et mo
tivant ! Même mes élèves-ingénieurs apprentis le font et en appliquent bien d’autres !
Un autre thème pourrait être la prise de conscience de la tenue, souvent différente en fonction du métier mais toujours adaptée, ou celui de la communication directe ou indirecte par l’affichage des notes de services, des tableaux de bord. L’école serait au service de l’entreprise et de la collectivité et ces dernières seraient au service de la vie courante dès le plus jeune âge pour une véritable osmose réduisant stress et mal-être au travail. Et tout ceci est réaliste et réalisable.
DE LA LEGITIMITE D'UN VRAI CENTRE
Après avoir réussi son rôle de contre-leader face à Hervé Morin pour obtenir son retrait de candidature, le ministre ancien MODEM et toujours Nouveau Centre François Sauvadet, candidat aux législatives en Cote d’Or, invite François Bayrou à « rentrer à la maison ».
N’y aurait-il pas légitimité pour un vrai centre ? Pourquoi en est-il parti ? De quoi a-t-il donc peur ? Quelles en sont les réalités ? Pourquoi le NC ne vient-il pas s’exprimer lors des soirées marketing politique ?
Par François CHARLES*
Conseil en stratégie et management
Créateur des interviews marketing politique SPM
Aujourd’hui, on peut constater qu’il existe désormais un vrai centre, ni à droite ni à gauche. Le MODEM s’affiche vraiment de façon indépendante avec un discours « les pieds sur terre », des « critères logiques et tête froide » comme par exemple en refusant économiquement l’augmentation du nombre de fonctionnaires.
Le vrai centre n’apparait pas comme un contre leader mais vraiment comme un élément d’équilibre et rassurant sur les éléments de prises de décisions et pouvant piocher des idées à droite ou à gauche mais avec également le risque de vouloir plaire à tous et de ne pas avancer.
Aujourd’hui, le discours est diffusé par un homme de cœur. C’est ce qui fait que François Bayrou, le sâge modéré, risque d’être élu au second tour, comme choix de confort non risqué pour calmer les réformes brutales ou pour éviter un vote à gauche ou sur « les fronts ». Mais s’il ne l’est pas, on peut imaginer, voire espérer logiquement qu’il n’y aura pas de consigne de vote et que les reports s’effectueront par moitié sur « chaque pied » sauf vote blanc, également légitime pouvant sauver la face cette position centrale enfin trouvée, si réelle.
Le MODEM essaie de s’apparenter à son leader parfois avec difficulté et cherche souvent son identité. Une image pourrait être la suivante : le vrai centre peut s’apparenter au pivot central d’une ancienne balance où l’on ne voit pourtant que les plateaux droits et gauches et qui ne peut fonctionner sans cet élément central qui fait donc sa force et sa « puissance sur » sa droite et sa gauche.
Plutôt que « modérateur », on pourrait effectivement considérer le MODEM en « perfectionniste », « contrôleur-conseiller », voire « coordinateur », ne prenant aucun risque inconsidéré et avec un certain dirigisme qui peut justifier que certains le voient en « chef ». En évolution sous stress, il peut également faire apparaitre sa différence ou pouvant générer des projets multiples. On peut donc dire que le vrai centre trouve sa légitimité quasi apolitique lors d’un besoin d’union nationale. « Un pays uni, nul de lui résiste » fut la devise attribuée au MODEM par un responsable local.
L’équilibre de l’élection de 2012, est le fait que chaque bord à son « front », sans être des extrêmes. Le centre n’aime d’ailleurs pas les extrêmes, non maîtrisables car trop éloignés. Imaginons les Fronts comme des sous-plateaux principaux qui ne peuvent vivre seuls. Ce qui est remarquable au premier tour, est le fait que d’une part, les intentions de vote PS équivalent à peu près celles de l’UMP et que d’autre part, celles du Front de Gauche équilibrent presque et peu à peu celles du Front National, essentiellement aussi grâce à leurs leaders. Mais peut être est-ce du au pivot central de la balance…
Et le Nouveau Centre ? Comme on pouvait s’y attendre et comme je l’avais fait remarquer à Hervé Morin suite aux sondages pour une fois vrais, 67% a rejoint officiellement la droite. Reste à savoir en quoi était-ce un nouveau centre, sauf à être un autre sous-plateau à droite ne pouvant exister seul, mais sans réelle contrepartie à gauche sauf les Verts qui devraient, sans doute être inclus dans ce vrai centre pour développer une attitude apolitique. Alors ? rôle central ou centriste ? Aurais je oublié d’autres partis significatifs ?...
et si on parlait un peu de la 4e circo de Cote d'or
je n'aime pas quand L. Porte n'apparait pas dans les Reflets Montbardois, Je n'aime pas quand P MOLINOS n'apparait pas dans la com d'ALESIA et espère qu'il n'y a pas de lien ! je supporte quand F REBSAMEN parle du changement dans son discours des voeux mais je n'accepte pas que P MOLINOS parle de cette absence de photo ni que D MARTIN parle d'année du changement pendant l'Assemblée Générale de l'Office de Tourisme de Montbard. après avoir corédigé un recours en annulation je veille désormais... surtout sur la 4e circonscription
par ailleurs François Sauvadet bénéficie du soutien de l'UMP et ne verra pas un candidat "officiel" sine die même s'il serait opportun qu'un suppléant UMP soit présent
F Sauvadet et le NC ne réprésentent pas forcément tout l'électorat de droite et n'ont pas forcément capacité à recueillir l'électorat FN modéré. Et ce n'est pas avec son comportement actuel avec ses alliés, que F Sauvadet va gagner les législatives
d'autres candidatures sont possibles avec des suppléances intelligentes . elles peuvent rassembler en altruisme, sauf si le Maître ne veut aucune ombre, et là, leur comportement changera
LA FRANCE FORTE A LYON COMME EN COTE D'OR
Aujourd'hui, j'ai assisté à un discours à la fois humain, profond, rempli de sens, de force et d'émotion.
Cette France forte doit s'affirmer dans toutes les régions, tous les départements, toutes les circonscriptions et notamment la 4e de Cote d'Or.
aucun acteur actuel ne semble pouvoir représenter cette force et il semble urgent d'y remédier
ALESIA, THEATRE D'UNE NOUVELLE GUERRE ?
En 52 av JC, Vercingétorix, en gaulois «chef suprême » battait le généralissime Jules Caesar à Gerg ovie puis le pourchassait à travers la Gaulle pour subir ensuite une défaite « dans » ou « après » le pays des Sequanes (en fonction des traductions du « ad Sequanem ») due à la pseudo neutralité des Eduens et de la cavalerie des Germains. Napoléon III a décidé que le site de la bataille avait été identifié en haute Cote d’Or. Jusque là tout le monde est à peu près d’accord.
Alors que la même statue en Allemagne a été érigée pour celui qui a mis les Romains en dehors des frontières, il est étonnant de se réjouir d’une défaite mais nous n’allons pas refaire l’histoire sauf à montrer le sursaut national, comme voulait le faire l’Empereur. Mais était-ce peut être là un acte manqué avant Sedan, sans oublier néanmoins les charges héroïques de nos cavaliers et les victoires vécues à Dijon et à Belfort. Je souhaite d’ailleurs toujours que les soldats tombés en 1870, avec l’apparition de premiers monuments dans nos communes, soient également commémorés le 11 novembre.
A quelques jours de l’inauguration du muséo-parc d’Alesia, œuvre territoriale de MM De Broissia et Sauvadet, qui a été financé par le Conseil général à hauteur de plusieurs dizaines de millions d’euros, et qui devrait accueillir dit-on 150 000 visiteurs par an (…), le JDD du 11 mars 2012, puis le JT de 20 heures de France 2 du 15 mars relancent le doute sur la légitimité du site. En effet, l’historienne Danielle PORTE, homonyme de l’enseignante d’histoire géographie qui aime souvent à porter le badge d’Alesia, notamment quand elle visite des projets territoriaux (…), réfute le fait que la « défaite » ait bien eut lieu en Bourgogne. Quelle publicité pour le muséo-parc !
Quel en est l’objectif ? Quelles sont les réalités ? A quoi joue-t-on ? N’y a-t-il pas un moment ou l’on doit arrêter de lutter, comme dit P. Molinos sur d’autres sujets ? N’y-a-t-il pas d’autres options pour valoriser certains sites ? Et… savez-vous qu’une autre bataille s’annonce ? Ce site sera-t-il rassembleur ou évocateur de certaines luttes entre pseudos alliés ?
Par François CHARLES
Economiste, sociologue, conseil en stratégie et management, animateur politique, porteur du projet d’hôtel 4* près de Montbard
Cote d’Orien d’origine, je connaissais la statue d’Alesia en Cote d’Or. Alors marié à une jurassienne, et féru d’histoire, qui plus est militaire dans l’armée de terre, je me suis intéressé il y a plus de 20 ans à un autre site, ou plutôt à deux sites de pars et d’autre de Champagnole : l’un pour la bataille de cavalerie avec les Germains juste au bout d’une voie romaine, l’autre ensuite au pied d’une quasi forteresse de rocher, un réel « oppidum » abritant l’armée gauloise repliée en ordre. Quelle fut la surprise du maire et ami actuel de Champagnole de constater il y a dix ans que l’histoire d’Alesia n’était pas que locale. Entre temps, j’avais rencontré André Berthier, des historiens, des passionnés, les deux associations (locale et parisienne) souvent opposées dans les buts et moyens mais pas dans l’objectifs. J’ai sillonné les lieux de bataille et en ai même fait ensuite un sujet de présentation lors de mes études militaires devant les preuves cartographiques et opérationnelles apportées par photos aériennes consolidant les écrits de César sur les distances des plaines, des fossés et des tours, ainsi que sur les lieux géologiques. Ce même exercice vient d’être à nouveau réalisé avec des technologies nouvelles, confirmant les premières hypothèses. A Chaux des Crotenay, des lieux portent des noms liés à César. Cette région verrou jurassienne a souvent été ensuite le théâtre de nombreux affrontements très sanglants. Même si César a sans doute du gonfler les chiffres, on peut mal imaginer que la nombreuse armée de secours ait pu perdre dans la plaine d’Alise Ste Reine ni réussir à harceler l’armée romaine alors qu’il était difficile pour elle de manœuvrer dans le Jura avec l’échec ensuite que l’on connait.
Je suis allé depuis longtemps comparer ces études avec celles d’Alise Sainte Reine. A cette époque, certaines fouilles avaient encore lieu mais elles se sont bien vite arrêtées quand des preuves matérielles se sont avérées donnant ainsi un doute culturel. Par ailleurs, à chaque fois qu’un lieu était défait, surtout religieux, la tradition voulait qu’on l’abandonne alors que l’Alesia bourguignonne a réellement vécu à partir de ce moment.
Pourquoi ne pas penser que l’histoire ait pu tourner et que les Romains aient décidé cette fois de créer un lieu à cet emplacement ? La meilleure solution de rechange (MESORE) est-elle pour Chaux des Crotenay ou pour… Alise Ste Reine qui fête le martyr d’une femme gauloise depuis plus de 800 ans. Pourquoi ne pas reconnaître qu’il y a eu aussi une bataille à Chaux des Crotenay pour réduire cette crise ?
Pensons positifs pour que ce site soit entrainant pour le territoire au même titre que l’abbaye de Fontenay ou que Flavigny. J’espère y faire bien vite des séminaires de stratégie. Nous verrons si la future hôtellerie de Nogent drainera des visiteurs ou en bénéficiera. J’espère aussi que le site pourra accueillir une des soirées du futur festival de musique de film de l’Auxois avec le thème « militaire ». J’invite les deux sites à se valoriser mutuellement comme pourraient le faire les aéroports de Dijon (en Cote d’Or) et de Dole (dans le Jura) qui ne luttent pourtant pas à cause d’Alesia.
Ah oui, l’autre bataille ? Si vous suivez mon blog et mes pages facebook, vous aurez sans doute deviné un certain jeu entre d’une part un grand et actuellement puissant personnage local et national jusqu’aux élections présidentielles et d’autre part un personnage doté de fortes compétences, d’un vécu très riche et varié avec un fort potentiel et d’autre projets pour le territoire, qui avait commencé à travailler « pour » voire « avec » le premier avant d’être blacklisté par son équipe pour des raisons politiques, professionnelles et apparemment aussi désormais personnelles.
On peut aussi à se rappeler autre personne idolâtrant ce personnage local, qui tente désormais de rayonner dans la circonscription (…) en faisant de la communication plutôt que de la politique et en faisant croire qu’elle écoute et comprend, anciennement très proche du personnage compétent lors des cantonales, mais devenue amnésique et ingrate, et même insultante aux apports politiques, relationnels, techniques, personnels reconnus qui lui ont été apportés avec croyance, plaisir et conviction.
Même ceci semble réaliste et pourtant a priori peu réalisable, j’invite ces trois personnes et leurs équipes à aller de concert pour l’intérêt général du territoire car elles ont toutes trois des qualités complémentaires pour travailler et pour rassembler, en laissant ensuite de façon réaliste la légitimité des personnes les plus représentatives.
Encore faut-il pouvoir accepter se remettre en question et accepter aussi une meilleure solution de rechange sans quoi une guerre ouverte sous-estimée risque de se déclencher. Même si la statue de Vercingétorix n’est pas encore déboulonnée, n’oublions pas que les « petits » opposants du Jura ont très certainement raison.
CONNAISSEZ VOUS LES NOUVEAUX PAYS DE L'UNION ?
J'ai le plaisir de vous communiquer d'anciennes pulications de l'IRCE réalisées à partir d'images de l'excellente émission "le dessous des cartes" puis d'un travail de recherche et de synthèse sur les documents publics des institutions sur les quatre thèmes que sont :
- la politique où il est remarquable de constater les similitudes avec le système administratif français
- la géographie où l'on peut voyager inlassablement dans tous ces pays différents
- l'économieoù l'on remarque, qu'assemblée, l'économie européenne peut être forte
- et la culture, élément d'image et d'identité mais lien naturel d'échange entre les peuples
L'OTAN, VECTEUR D'INTEGRATION EUROPENNE
un prochain article à paraitre sur ce sujet qui intégrera ces planches
je me suis aperçu depuis 20 ans, que nous sommes peu à conaitre vraiment le fonctionnement de l'OTAN
ancien négociateur français sur la politqiue industrielle et financière à l'OTAN, j'ai toujours considéréque l'OTAN était un vecteur d'intégration européen
comme en management, il est souvent plus facile de travailler sur un terrain neutre ou sur un projet. L'OTAN donne la possibilité aux pays européens de créer leur identité en dehors des lieux strictements européens